Vendredi 27 novembre 5 27 /11 /Nov 11:58

Je vous ai un peu délaissés, mais je me devais tout de même de vous raconter ce qui m'était arrivé en vacances à Playa del Ingles (Gran Canaria) pour ceux qui ne connaissent pas.

 

Après une journée passée la bite à l'air à la plage à mater des mecs beaux et moins beaux et une bonne pré-nuit de 21 heures à minuit, j'étais plus qu'en forme, et ce à tous les niveaux.


 

Après une toilette complète, j'étais prêt pour que cette nuit soit LA nuit, comme chantent les Black Eyed Peas dans un de leurs derniers tubes.

 

Chemisette à pression (style strip-teaser ) blanche à rayures rouges qui colle bien au torse et qui s'ouvre vite, jean serré avec braguette à fermeture (c'est dangereux, mais plus rapide), slip blanc, socquettes blanches et tennis bleus, un coup de déo et c'est parti pour l'aventure.

 

Comme d'habitude à Gran Canaria, le circuit c'est une suite de bar qui n'en finit pas et, si vous avez lu le reste  mon blog,  vous savez que j'aime la picole mais que je ne tiens pas l'alcool en dépit de mon entraînement. Ce qui reste un mystère pour moi.

 

Bon enfin, vers trois heures me voilà dan un bel état après 3 whisky-cocas et 2 heures à reluquer les mecs des différents points de boisson.

 

Ça me tiraille vraiment à l'entrejambe et ce n'est pas une envie de pisser.

Je décide de passer à l'essentiel, un peu lassé de ce sempiternel échange de regards qui m'amuse en temps normal.


 

Je descends au Cruise-Bar pour ceux qui connaissent et je me commande un quatrième whisky-coca que je n'arrive pas à avaler.

 

Un peu titubant, mais avec l'aplomb du mec qui a bu et qui pense qu'il contrôle quand même, je me dirige vers la back-room après un tour rapide de toutes les cabines.

 

Il n'y a pas grand monde.

 

J'en ressors et vais dans le salle de TV qui touche ce lieu de perdition.

 

La pièce est constituée d'un écran suspendu avec des films de Q plus ou moins réussis souvent très "bear" ou cuir et assez branchés fist.


 

En face, trois hautes marches permettent aux spectateurs de s'asseoir face à l'écran.

 

Je m'assois sur la plus haute des marches et commence à mater un film plutôt sympa.

 

Avec mon whisky-coca – qui chauffe dangereusement – dans ma main droite et ma main gauche qui commence à jouer avec ma braguette, je m'octroie quelques minutes de répit.

 

Il y a deux autres mecs dans la pièce, l'un assis sur la deuxième marche de l'autre côté de la pièce qui me reluque, mais qui ne me plait pas et un autre sur la première marche, la tête appuyée contre le mur. Aucun risque de ce côté-là, il est dans un état…

 

Je commence à m'exciter devant le film. Un couple rentre dans la pièce. Je retire ma main et me remet à boire pour me donner une contenance.

 

L'un est pas top, grand brun et baraqué, mais pas très séduisant au niveau visage, environ la quarantaine. L'autre a la crâne rasé, habillé en kaki dans un style vigile assez excitant plutôt beau gosse, mais assez nerveux.

 

Ils jettent un coup d'œil sur la scène et se dirigent vers la back-room.

 

J'hésite, mais non, je suis bien devant mon film de boules avec mon verre.

 

Le problème est que je commence à m'exciter malgré les allées et venues.

 

J'ai une trique plus que visible et je décide d'ouvrir ma braguette pour pouvoir me toucher à travers le slip.

 

Quelques mecs passent, jettent un coup d'œil, mais tout le monde se dirige vers la back-room.

Engourdi par  l'alcool et par la montée de mon excitation, je ne me suis même pas aperçu que le couple est de retour dans la pièce et se tient à deux mètres de moi, debout appuyé contre le mur.

 

Ils me matent. Le brun ouvertement, le rasé en douce.

 

Gêné, je me redresse – j'étais à moitié affalé sur la marche – et je me rajuste, mais sans oser fermer la braguette à cause du bruit que cela ferait.

 

Une minute passe, le couple a reporté son attention sur l'écran de TV où le film est assez sympa.

 

Tant pis, j'y tiens plus. Je recommence à me caresser la bite à travers le jean, mais ma main frôle dangereusement l'ouverture béante.

 

Au fur et à mesure des attouchements, je recommence à me détendre (sauf d'un endroit bien sûr) et sans m'en rendre compte, je me laisse glisser contre le mur en écartant bien les jambes.

 

Il commence à y avoir du monde dans la salle de TV, mais je reste isolé dans mon coin.

 

Le couple est toujours là, mais regarde alternativement les autres mecs et le film, sans m'accorder plus d'attention. Du moins, c'et ce que je crois.

 

Je m'enhardis, comme souvent dans ces cas-là, et je glisse ma main dans ma braguette pour me frotter doucement le gland à travers le slip.

 

C'est compliqué, je porte à gauche et sans être monté comme un âne, c'est difficile d'accès.

 

Je rebois un coup, jette un coup d'œil à la ronde puis me décide.

J'ouvre la premier bouton de mon pantalon qui saute comme un bouchon de champagne.

 

Me voilà, vautré sur la marche du haut dans une salle de TV, les pans de la chemisette écartée sur mon jean entrouvert où pointe une érection des plus beaux jours.

 

Bien sûr, le fait d'avoir le pantalon ouvert ne me calme pas, au contraire.

 

Je glisse sans vergogne ma main droite dans mon slip et commence à me branler.

Quelques mecs commencent à regarder. Il faudrait que je me calme…

Ou pas !

 

C'est à ce moment que le grand brun du couple se tourne vers moi et me dit : "Can we see it ?" avec un accent anglais épouvantable.

 

Son comparse me regarde en biais, mais je le soupçonne d'être à l'initiative de la demande.

 

Je déglutis et je m'apprête à retirer ma main de l'intérieur de mon pantalon, quand une rafale d'excitation venue de je ne sais où me fait hésiter.

 

Et pourquoi pas, après tout ?

 

Je soulève l'élastique de mon slip et sort mon gland devant le mec un peu surpris et son copain qui ne fait plus semblant de regarder ailleurs.

 

Il voulait me provoquer, mais ne s'attendait probablement pas à ce que je le fasse vraiment.


 

Et me voilà qui m'astique sous le regard de nos deux rigolos et de quelques autres.

 

Le rasé a mis sa main dans sa poche et se caresse aussi.

 

Le grand brun qui tient toujours son verre commence à sourire.

 

Et moi, j'en peux plus tellement ça m'excite !

 

L'élastique du slip me gêne et je mouille grave sur ma chemisette.

 

Au grand maux, les grands remèdes, je profite des pressions de ma chemisette pour l'ouvrir.

 

Le grand brun sourit de plus belle.  "Not very shy". Me balance-t-il ou un truc de ce genre.

 

Il pose son verre et s'approche de moi. Son copain aussi.

 

Il me tend un flacon de poppers.

Là encore, difficile de résister, même si je sais à l'avance que je me réveillerai dans quelques heures avec un mal de crâne carabiné du fait de l'alcool et du poppers.

 

Je dévisse le bouchon et prend deux grandes inspirations.

Je redonne son flacon au grand brun qui me prend la main et me fait lever d'un coup.

 

Me voilà debout sur ma deuxième marche devant tout le monde, la chemisette ouverte et le jean entrouvert avec ma bite qui dépasse de mon slip.

 

Avant que j'ai pu décider de la suite à donner à cette histoire - de plus en plus de types de passage de ou vers la back-room s'attardent dans la salle de TV – le grand brun me retire avec douceur ma chemisette et la pose derrière moi avant de me rouler une pelle de vrai pro.


 

Son copain est déjà entre mes jambes et fait glisser mon pantalon jusqu'à mes chevilles.

Je vais avoir du mal à partir en courant.

 

Le grand brun recule et me regarde satisfait.

 

Je suis complètement nu devant tout le monde avec une érection des plus beaux jours et j'adore ça.

 

Si je ne me retenais pas, je juterais bien devant tout le monde.

 

Quelques mecs font mine de s'approcher, mais le grand brun reprend les rennes de l'affaire en leur bloquant le passage tandis que son copain qui a sorti sa queue se précipite entre mes jambes pour un pompage en règle.

 

Après une ou deux minutes de tripotage et léchage hyper-excitants , me voilà entraîné dans la back-room par nos deux compères.

 

Je n'oublie pas ma chemisette au passage.

 

Nous y resterons un bon moment et je ne suis pas vraiment sûr que nous soyons restés tous les trois tout le temps, mais cela restera mémorable tout comme cette entrée en matière pas piquée des hannetons.

 

Par Marc Tessier - Communauté : passion exhibition
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Jeudi 1 octobre 4 01 /10 /Oct 16:37
Comme le chantait et le pratique tuojours si bien George Michael : Let's go outside !!

Si vous êtes exhib comme moi, le fait d'être nu à l'extérieur, quelque soit l'endroit est toujours une source d'excitation grandissante.

La peur d'être supris dans certains endroits interdits ou le simple plaisir de se promener nu et de se faire mater est un plaisir que même les non-exhibs pas coincés ressentent.

et reste aussi le plaisir de mater les autres à poil !

Qu'ils soient hétéros et pas farouches :



Ou une bande de copines pas gênées par les photos :



Bien sûr la plage est le lieu de prédilection pour se rincer l'oeil :



Difficile de rendre les mecs plus accessibles.
c'est à celui qui trouvera le plus d'excuseS pour se lever




Et se faire admirer



Il y a ceux qui ne le font pas exprès :



Ou qui sont trop occupés :



et ceux qui ne sont pas là par hasard :



Mais la mer n'est pas le seul endroit où on peut mater du minou à poil comme nous le verrons dans la deuxième partie de outside... demain !
Par Marc Tessier - Communauté : photo video gay exhib :
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Mercredi 30 septembre 3 30 /09 /Sep 18:04

Je sais pas pour les autres, mais pour moi aller chez le médecin n'a jamais été une partie de plaisir.

 

J'aurais dû avoir moins de préjugés, surtout lorsque je me suis rendu chez un médecin recommandé par mon pote Olivier rencontré un mois auparavant en discothèque.

 

J'avais dragué Olivier sur la piste de danse en me dandinant torse nu devant lui. Puis comme d'habitude, avec l'alcool et l'excitation, je m'étais retrouvé en slip, allez savoir comment… à me frotter contre lui. Cela avait fini contre un des murs de la discothèque où on s'était tellement pelotés et embrassés que je l'avais fait jouir dans son pantalon.

 

On était bien sûr restés bons copains et comme on s'était connus dans les circonstances les moins avouables (surtout pour moi – j'ai fait pire, patience…), je lui confiais assez facilement mes petits secrets.

Le dernier en date qui m'inquiétait quelque peu : une irritation à l'anus.

 

Etant plutôt branché par l'utilisation de cette source de plaisir supplémentaire que nous a offert la nature, je n'avais pas trop envie de m'en passer et en plus je voulais être sûr de ne rien avoir chopé même par mégarde.

 

Olivier m'a alors dit d'aller voir son docteur qui l'avait traité pour des problèmes similaires. Me voilà donc parti par un bel après-midi de juin consulter un nouveau médecin pour lui montrer une part assez cachée de mon anatomie.

 

Bel immeuble dans le 17e, salle d'attente assez froide avec les magazines habituels. Un autre patient - pas gay - qui me regarde un peu de travers. C'est vrai qu'il fait chaud, mais bon suis habillé normalement et j'essaie au contraire de ne pas trop transpirer de peur d'arriver dans un état de liquéfaction assez embarrassante devant le médecin.

 

C'est long et ça n'en finit pas avec le patient précédent, puis enfin, bruits de pas, de portes qui s'ouvrent et se ferment t voilà notre toubib qui apparaît par la porte de communication. Beau mec, la quarantaine, mais bien charpenté et un regard froid bleu acier. Il me jette un coup d'œil assez négligent et fait entrer le patient précédent.

 

Il est donc très en retard. J'adore ! Je me lève et commence à me promener dans la salle d'attente. Avec la transpiration – il fait chaud dans la salle d'attente – j'ai le cul qui me brûle !

Décidément, il y a bien un problème. D'habitude en arrivant chez le médecin, je suis guéris. Au moins cette fois-ci, je ne serais pas venu pour rien.


 

Mon tour vient enfin.

Il est grand, plus que moi, donc plus d'1m80. Bien bâti, cheveux courts, tempes grisonnantes, pas mon genre en temps normal, mais une attitude froide et arrogante assez excitante et une voix gutturale assez sexy.

 

Je m'assois. Il m'a à peine regardé.

"Désolé du retard" s'excuse-t-il. Bon point pour lui. "Vous deviez passer avant le patient précédent, mais j'ai préféré inverser du fait de l'urgence de son cas".

Il ne sait même pas ce que j'ai, mais bon…

"Quel est votre problème ?" me demande-t-il après avoir rempli soigneusement son dossier.

 

Là , je suis pas dans la merde. En même temps, je ne le connais pas, alors qu'est-ce que ça peut faire ?

"Je suis venu vous consulter sur les conseils d'Olivier XX". Il sourit. Enfin ! C'est là que je remarque son alliance, au bon doigt et à la bonne main. Moi qui croyais que c'était peut être un médecin gay.

"J'ai un problème d'irritation  très mal placé". Je bafouille lamentablement.

"C'est à dire ?" me répond-il. "Je suis médecin, vous savez. Vous pouvez me parler".

"A l'anus". Je finis par lui dire.

"Bien. On va voir ça".

Je me lève pour aller vers la table située contre le mur du cabinet.

Mais lui reste derrière son bureau.

"Déshabillez-vous" me dit-il.

"Hein ?" me dis-je à moi-même.

"Déshabillez-vous, je vais vous ausculter".

Je retire donc mes chaussures. J'ouvre mon pantalon et je l'ôte. Je suis en slip blanc, socquettes blanches et chemisette devant lui, attendant qu'il se lève pour m'emmener m'ausculter.

Il ne bouge pas.

"Enlevez votre chemise s'il vous plaît" me dit-il l'air toujours aussi dégagé et professionnel.

"Y a comme une entourloupe" est ma première idée, mais il me dit toujours aussi calmement et sûr de lui "Inutile de la tâcher. Je vais devoir utiliser de la vaseline pour vous ausculter".

Je retire ma chemisette. Je voilà en slip et socquettes devant le beau monsieur. Et pour ceux qui n'ont pas lu mes autres expériences, je suis plutôt exhib.

Je suis troublé, mais pas uniquement par la gêne.

Son regard se promène sur moi, mais il ne bouge toujours pas.

"Allez jusqu'à la table". J'y vais lui tournant le dos.

"Baissez votre slip et allongez-vous sur le ventre".

Je m'exécute. Le slip enroulé sur mes cuisses. Tout empêtré et maladroit.

Il m'a bien eu. Il ne s'occupe même pas de moi. Il s'est levé et est parti chercher gants, lumière et vaseline (?).

Il arrive à quelques mètres de la table.

"Relevez-vous et retirez votre slip. Je ne peux pas vous ausculter avec."me dit-il d'un ton assez peu aimable qui me fait passer pour un parfait imbécile.

Finis les fantasmes du beau docteur à la voix autoritaire. Je passe pour un crétin. Mon excitation qui commençait, se calme d'un bloc.

Je fais glisser maladroitement le slip le long de mes jambes et j'attends tel un puceau sa première sodomie avec une angoisse non feinte.

"Mettez-vous à genoux et posez votre joue droite contre la table "me demande-t-il de son ton courtois habituel.

"Ecartez plus". Et me voilà dans une position particulièrement humiliante devant un toubib que je connaissais pas il y a encore quelques minutes.

On peut pas dire que je sois très excité, surtout quand son doigt ganté, gluant et froid vient me visiter mon intimité.

"Ecartez s'il vous plaît".

Je vois pas comment faire plus…

"Vous vous rasez ?" me demande-t-il pendant que son doigt… ses doigts !! poursuivent leur visite.

"Oui" je lui réponds tant bien que mal.

"Depuis longtemps ?" me questionne-t-il.

"En fait, non. Je me suis rasé pour la première fois cette semaine" bien sûr en donnant cette réponse, je réalise à quel point je suis crétin.

Je m'étais jamais rasé – je ne suis pas très poilu – et avec la chaleur ambiante, j'étais simplement très irrité. Ce que me confirma le médecin.

Parfois, on devrait éviter de se prendre pour un acteur de porno.

"Je vais vous prescrire une pommade" me dit-il.

"Ne bougez pas" dit-il en enlevant ses gants.

Il part chercher dans le tiroir de son bureau quelque chose.

"Je vais garder une trace pour le dossier".

Hein ?

"Ecartez avec vos mains, que l'on voit bien la marque de votre irritation".

Et me voilà le cul en l'ait en train d'écarter mes fesses et d'exposer complètement ma rondelle à un parfait étranger – même médecin, c'est hard !

Le pire est à venir.

Le flash fait briller toute la pièce.

Hein ? Hein !

Je crois bien qu'il vient de me prendre le trou du cul en photo.

Et le pire c'est que je n'ose rien dire.

Il prend deux ou trois autres photos, dont une bien loin de la table je trouve.

Mon calvaire prend fin.

"Vous pouvez descendre. C'est bon".

Je descends maladroitement de la table et me voilà debout dans le plus simple appareil devant le toubib qui règle le sien d'appareil.

Je m'apprête à récupérer mon slip au sol, mais ce brave docteur n'en a pas fini avec moi.

"Enlevez vos chaussettes" me demande-t-il avec un regard narquois et un sourire en coin.

"Salopard d'Olivier. Il va me le payer !" me dis-je à moi-même tout en souriant.

Je me baisse. Mon entrejambe commence à tirer

" Non, gardez-les" me dit-il "C'est mignon, avec".

Le flash repart. Le docteur aime bien les souvenirs.

"Pas de problème d'érection, au moins" me balance-t-il moqueur et grivois.

Le drapeau n'est pas encore dressé, mais à mi-chemin.

"De profil".

Et me voilà immortalisé la bite à moitié dressée pour finir sur l'ordi de ce brave docteur.

Ça dure plus de dix minutes.

Y compris avec la chemisette, avec les tennis, les pieds dans les étriers. Quel coquin ces médecins !

Et quel ascendant…

En dehors du fait que je sois exhib et plutôt soumis, c'est d'une facilité déconcertante de lui obéir.

Je comprends que certaines femmes se fassent abuser par leur médecin.

Mais notre bon docteur n'est pas qu'un photographe. Inutile de laisser perdre un bon lubrifiant, et il laisse vite son appareil photo de côté pour me branler le cul avec deux ou trois doigts avant de me sauter comme une reine.

Son affaire faite, il n'a pas oublié de me donner mon ordonnance, ni de me faire payer !!

Un vrai pro !!!

Je suis sorti avec un peu plus mal au cul, mais avec un sourire ravi sur les lèvres et mon premier geste a été de remercier Olivier par texto en me demandant bien comment je pourrais lui rendre la pareille et lui trouver un guet-apens (sans jeu de mot) identique !

 
Marc tjoueur@hotmail.fr

 

   

 

 

 

Par Marc Tessier - Communauté : passion exhibition
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Dimanche 13 septembre 7 13 /09 /Sep 19:01
Voici le profil, puisque vous n'avez pas été assez nombreux pour réclamer le côté pile...



Je vous raconterai l'histoire de ce strip dans la semaine avec d'autres fotos si vous n'êtes pas sages...

tjoueur@hotmail.fr
Par Marc Tessier - Communauté : passion exhib et voyeur
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Mercredi 19 août 3 19 /08 /Août 10:38
Je vous l'avais promis le strip commence...

A vos commentaires, si vous voulez voir le côté pile...
Par Marc Tessier - Communauté : passion exhibition
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