Jeudi 29 janvier 4 29 /01 /Jan 12:21
En ce jour de noirceur sociale et de grisaille, quelques photos d'un beau kiki à la plage :




Envoyez-vos photos persos ou trouvées sur le net et je les posterai sur mon blog.

Allez, tu meurs d'envie de te montrer !!

Envoie-moi ça avec un petit CV à tjoueur@hotmail.fr

A très vite....
Par Marc Tessier - Communauté : photo video gay exhib :
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Mercredi 28 janvier 3 28 /01 /Jan 15:19
La photo d'une équipe de natation comme on les aime...




avec deux belles salopes à droite qui sont pas à poil par hasard.
Par Marc Tessier - Communauté : passion exhib et voyeur
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Mardi 27 janvier 2 27 /01 /Jan 18:09





En fait, j'ai commencé à aimer l'exhib par émulation.

J'avais 21 ans, le bel âge, quand un mec m'a reçu après une rencontre rézo téléphonique chez lui. La particularité, c'est qu'il était en slip.

La situation m'avait excité au plus haut point, sans savoir pourquoi en dehors de son très agréable physique.

J'ai décidé de faire la même chose et j'ai pris mon tél pour tenter l'aventure.

Après l'accueil d'usage et les deux ou trois tarés habituels, une belle voix grave m'a demandé où j'étais.

"Je suis dans le 15e", ai-je répondu.

"Ça tombe bien moi aussi et libre le temps du déjeuner", m'a-t-il dit. Il était 11 heures du matin. Quand on a la gaule, il n'y a pas d'heure.

Je lui posais les questions d'usage (prénom, mensurations…).

Je ne vous les détaillerais pas, je ne me souviens plus de tout. Toujours est-il que tout me plaisait de même que sa belle voix grave et virile et son prénom de mec, Patrice.

"Tu reçois vraiment en slip ?", m'a-t-il redemandé. J'ai confirmé. Après un échange d'adresse et d'étage, je lui ai dit que je mettrais un post-it sur ma porte (il n'avait pas mon nom et je ne voulais pas lui donner).

Le cœur battant à cent à l'heure et la trique émergente (c'est pareil pendant que j'écris ça). J'attends mon rencard.

Je passe mon temps à changer de slip et à me regarder dans le miroir pour m'imaginer l'effet que ça lui fera. Espérant qu'il ressente l'excitation que j'avais connu lors de mon précédent plan. Je choisis un slip blanc à poche, les classiques, y a que ça de vrai….

Une demie-heure plus tard, j'entends l'ascenseur qui s'arrête à mon étage, mon cœur va s'arrêter, mais je me précipite derrière mon judas.

Je vois une grande silhouette en jean et bombers se diriger vers ma porte. Je recule, j'ai pas eu le temps de voir grand chose, mais il est impressionnant.

Première sonnerie, je me précipite de nouveau devant ma glace pour une dernière vérif.

Deuxième sonnerie impatiente. Quand faut y aller…

Un dernier soupesé du paquet pour vérifier que tout est là et j'ouvre la porte.

Il est là, grand, blond, carré, cheveux en brosses, mâchoire volontaire. Excitant et viril, quoi.

Mais en dehors de son physique, c'est son regard qui a emballé ma machinerie. J'ai vu (presque senti) ses yeux descendre le long de mon corps pour s'arrêter sur mon entre-jambe déjà en effervescence.

Le "salut" qu'il me lance me confirme que sa voix n'était pas déformée par le téléphone. Le bruit d'une autre porte qui s'ouvre à 'étage le tire de sa contemplation et il me pousse fermement à l'intérieur de mon appart.

"Tu veux boire un truc ?" je lui dis d'une voix chevrotante.

"Oui, merci."  Et il s'assoit sur mon canapé après avoir ôté son bombers. Il est en polo Lacoste. Un peu naze maintenant, mais à la mode à l'époque. Ça lui fait des bras d'enfer. Déjà qu'il est plus grand que moi qui fait 1m80, c'est un sacré morceau.

C'est là que j'ai compris que le plan m'excitait, lorsque j'ai senti son regard sur moi qui me pavanait en slip dans la cuisine devant lui. Lorsque je me suis baissé légèrement dans le frigo pour prendre la bouteille ce coca, j'ai littéralement senti ses yeux me caresser les fesses.

Lorsque je suis arrivé avec son verre pour lui donner, il ne me regardait pas dans les yeux en me remerciant et j'ai compris ce que ressentaient les femmes qu'on regarde dans le décolleté. Il me fixait le paquet sans gêne aucune, mais moi, j'adorais ça.

Il l'a d'ailleurs remarqué rapidement.

"Tu mouilles, ma salope !", qu'il m'a balancé en riant.

J'ai rougi comme une pivoine en fixant le devant de mon slip qui montrait une belle auréole.

J'essayais de changer de sujet : "Tu veux de la musique ?".

Ma chaîne stéréo (un ancien modèle sans MP3) était derrière moi.

"Ok." Qu'il me répond sans conviction mais sans me quitter des yeux.

"Mais j'ai pas beaucoup de temps, je suis en pause déjuener". Je déglutis et me dirige vers la musique. Je mets un CD, incapable de me souvenir du titre, de toute façon il s'en fout, quand je me retourne,  il se caresse la queue à travers son jean en me matant le cul, puis la bosse de devant.

"T'as des baskets ?" me demande-t-il en continuant à se malaxer la bite et à me mater sans honte. "Oui. Des converse." Je lui réponds d'une voix gênée (vous marrez pas, c'était la mode).

"Va les mettre !". Le ton a changé, mais ça ne me déplait pas.

Je file dans le placard derrière le séjour et je sors les Converse.

"Avec des chaussettes blanches !" me crie-t-il.

"D'accord !". Je file en chercher dans ma chambre et j'enfile chaussettes et baskets.

"Alors ?!" me bouscule-t-il sans ménagement.

"J'arrive !", je lui réponds sur un ton un peu excédé.

"Magne, j'ai qu'une heure pour déjeuner !". J'approche de la pièce un peu énervé, lorsqu'il me balance : "Et vire ton slip ! Et essuie-toi la queue avec".

Je m'arrête abasourdi, dans un état second, plus du tout énervé. Les joues, le corps en feu.

Et je m'exécute. Je vire mon slip et je me présente à poil devant lui, vêtu simplement de mes baskets et de mes socquettes.

Il est aux anges et me mate sans vergogne.

"Mets-toi de dos", suivi d'un "mets-toi de profil". Il me fait enchaîner les poses en se branlant. Il a sorti sa queue.

Il finit par se lever et me soulève dans ses bras. Il m'allonge sur la table sur salon et commence à se cracher sur la bite déjà bien mouillée. D'un geste brusque, il me relève les jambes et avec délicatesse, il me pénètre.

L'affaire sera rapide, il est pressé de retourner au boulot. "On se reverra" me balance-t-il en partant.

Nous nous reverrons. Je vous le raconterai sûrement, mais l'expérience est surtout pour moi une révélation à concrétiser rapidement.  

Je suis exhib et j'aime ça.

 

Si vous avez aimé mon histoire, n'hésitez pas à me contacter.

tjoueur@hotmail.fr

 

 

 

 

Par Marc Tessier - Communauté : Gay vidéos
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