Mercredi 11 février
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17:03
La première exhib en extérieur reste un moment à part pour tous ceux qui aime se montrer. J'avais
la chance d'habiter dans le 15e Front de Seine à l'époque. Entre le pont de Bir Hakeim et celui de la Maison de la Radio, une presqu'île artificielle sur la Seine : l'Allée aux Cygnes.
J'y étais déjà allé plusieurs fois pour draguer, mais là j'avais surtout envie de me montrer. Mon bas-ventre bouillait littéralement, j'avais du mal à respirer. Un ou deux verres de vin pour me donner du courage et me voilà parti, j'avais pas besoin de blouson, c'était l'été. Mais j'en avais mis un, en dessous, j'étais en marcel. Du moins c'est ce qu'on aurait pu croire, sauf que sous le jean, le marcel s'avérait être un body qui me couvrait le corps de mi-cuisses jusqu'au haut du torse avec des brettelles. Ce petit body noir m'avait valu des plans mémorables avec mon copain du moment et j'avais envie de voir son effet sur un autre mec. Un soir d'été comme celui-là, l'Allée aux Cygnes grouillait de monde. Trop peut être…
Je tendais une drague classique, mais j'étais pas dedans. Je virais le blouson pour exhiber mon torse en semi-marcel. Ça commençait à tourner autour de moi, mais j'avais vraiment envie de plus. J'étais cho ! Mais blocage, je savais pas où j'en étais.
Retour à la maison bredouille. Quel con ! Il est trois heures et je bous littéralement. Inutile de penser à dormir. Je me dis qu'il faut que j'y aille dare-dare, si j'ai envie de me montrer en body. Un truc bien moulant qui me dessine un beau paquet et un cul génial, je dois le faire.
Je laisse le blouson cette fois et je prends mon sac à dos. Deux autres verres de vin et me voilà parti, la tête et les couilles en ébullition.
Il est tard et il reste moins de monde, mais suffisamment. Les regards sont plus pressants, des mecs se caressent contre les arbres, pantalons sur les chevilles, je mate un peu, mais j'ai surtout envie de me faire mater. Je choisis un banc à l'écart et je vire le jean sans enlever les baskets. Sauf que rien à faire ! Je suis obligé de virer les chaussures, des scratches heureusement. Je suis en body, tout tremblant.
Vais-je oser le faire ? Je range le jean dans mon sac à dos. Des mecs tournent intrigués par mon manège. Je vérifie qu'il n'y ait pas de flics, leur voiture arrivant toujours très doucement feux éteints. Je remets mon sac à dos, les bretelles du sac me forcent à me redresser à sortir mes pecs et à bomber le paquet vers l'avant. J'y vais. Je croise quelques mecs, leurs regards me touchent. Certains sont amusés et sourient à demi. Putain, la honte ! Ce qui était excitant dans la chambre ne l'est pas vraiment dans ces circonstances, même si pas mal de paires d'yeux s'attardent sur mon paquet ou mon cul. Le devant du body est trempé au niveau de la braguette et j'ai les aisselles qui ruissellent de transpiration. Un passage, deux passages… Rien.
On me mate, mais c'est pas le résultat que je voulais. Je retourne m'asseoir sur mon banc à l'écart. Je croise un beau brun qui me regarde en me toisant un peu. Un sourire sur les lèvres. Je suis vexé comme un pou. Mais je sais que je suis mignon. J'ai les joues en feu. Je profite qu'il n'y ait aucun passage pour jouer mon va-tout et je vire ce body aussi ridicule qu'encombrant.
C'est la première fois de ma vie que je suis nu sauf tennis et cho7 en extérieur (sauf plage) et surtout dans un endroit interdit. Je bande à moitié. J'enfile mon sac à dos, conscient qu'il me gêne, mais aussi qu'il met, grâce aux brettelles, ma poitrine en valeur et fait ressortir mon cul de dos. Le beau brun est de retour avec son petit sourire.
Au loin, dans la pénombre, il ne voit pas que je suis nu. Il croit que mon corps est toujours moulé dans le body. Je me fige sur place. J'ai une trouille… Mais, quand il faut y aller… Je mets mes mains derrière mon dos, décidé à ne rien cacher de mon anatomie et j'attends son passage, le menton un peu relevé, crâneur. Il arrive à ma hauteur, il me regarde droit dans les yeux, toujours moqueur. Je tremble, mais j'essaie de me contenir. Son regard glisse sur moi. D'un coup, il réalise que je suis complètement à poil devant lui. Son sourire s'efface d'un coup. Il s'arrête même de marcher tellement il est surpris. Cette fois, c'est lui qui est gêné.
Il accélère le pas en regardant autour de lui pour voir si personne le l'a vu me mater. Il avance vite, mais se retourne deux ou trois fois très nerveux. Il n'y tient plus, il revient sur ses pas. Fier de moi, je commence à bander grave, je vais m'asseoir sur le dossier du banc pour faire face à l'allée, jambes bien écartées. Il veut profiter du spectacle…
Il passe vite, ses yeux cherchent les miens, pour que je lui facilite ce qui a priori l'embarrasse. A priori seulement, il se touche à travers sa poche de jean. Je suis trop content de mon effet, je ne le regarde pas et maintiens mon air crâneur. En réalité, je suis fébrile comme jamais. Il me mate la bite, mais n'ose pas s'arrêter. Il va falloir l'aider, j'ai été un peu too much sur ce coup. Ma main descend entre mes jambes. Ma bite saute littéralement entre mes doigts. Il se retourne et me voit me branler. Il sait plus quoi faire. Il revient, lentement , mal à l'aise en regardant partout autour de lui. Il se positionne face à moi, de l'autre côté de l'allée dans l'ombre.
Il veut mater pour le moment. Ça me convient. Je bouge et me positionne sous la lumière d'un réverbère. Toujours vigilant à l'arrivée des forces de l'ordre. Un autre mec passe, il me regarde des pieds à la tête avec un arrêt prolongé sur l'entrejambes. Il est interloqué et excité, mais le beau brun le gêne. Il continue. Je commence mon show. Je me caresse les cuisses, les tétons. Il se touche. Je me retourne pour lui montrer mon cul qui dépasse bien rebondi juste en dessous du sac à dos. C'est joli et je le sais. Sa respiration est plus bruyante. Mr aime les croupions. Je me rapproche de la rambarde qui donne sur la Seine. Je vire mon sac, m'appuie les avant-bras sur la barrière métallique et j'écarte un peu les jambes, l'air de rien. En quelques secondes, sa main vient se plaquer sur mon cul brûlant. "Quelle petite pute !" me balance-t-il. L'effet est immédiat. Je suis au garde à vous. Sa main va d'ailleurs vérifier de suite. "Putain, t'es une chaudasse !". Son sourire est revenu. La bosse de son jean est sans équivoque. Les mecs commencent à tourner autour de nous.
Je suis gêné. Je m'empare de mon sac et veux me rhabiller. "Qu'est-ce que tu fais ?" qu'il me dit. "Je me rhabille". Il y a de plus en plus de monde… "Sûrement pas !". Il me pique mon sac en riant. Je commence à flipper. Il le sait. Je débande. Il rigole. J'aime ça, malgré tout. "Tu te rhabilleras quand je te le dirai" dit-il en me repoussant. "On n'allume pas sans éteindre". "Déconne pas, tout le monde nous regarde". Je suis hyper mal à l'aise. Il est tout content de lui. J'ose pas la force. J'ai peur d'attirer encore plus l'attention et il est plus carré que moi. "C'est ce que tu voulais, non ?"me répond-il narquois. "On va s'amuser un peu et si tu veux récupérer tes fringues, tu vas faire ce que je te dis". Je balise vraiment, mais même si je bande plus, L'humiliation d'être à sa merci et le centre d'attention de tous les regards m'excitent au plus haut point. Je suis rouge pivoine.
Il met mon sac sur son épaule et me claque les fesses. "Viens avec moi". "Laisse-moi me rhabiller d'abord". "T'en as pas envie !". Il a raison. "En route. Marche devant moi, je veux voir les mecs te mater et profiter de ton cul de pute !". "Où on va ?" Il m'a attrapé les cheveux (pourtant très courts) et a commencé à tirer. Sur le coup, j'ai eu un eu peur, mais après quelques secondes, je me suis mis à apprécier. "Fais ce qu'on te dit, putain !".
Et on est partis. Moi complètement à poil et lui juste derrière moi à scruter les réactions des mecs et à me taper les fesses de temps en temps, surtout quand quelqu'un voulait approcher. A cette heure-là, j'étais le plus jeune et ma tenue ne faisait plus rigoler. C'était clair, l'envie était dans presque dans tous les regards. J'étais au septième ciel, j'avais l'impression d'être vivant comme jamais. "On refait un tour, je vois que tu apprécies". Il a raison. Même si un couple se fout de ma gueule, leurs yeux en disent long. Il aime montrer son ascendant. Des mecs nous suivent, mais n'osent pas approcher.
"Stop !" me dit-il. "Monte sur le banc !" "Je veux pas, il y a plein de monde derrière". "Justement". Il me pousse sur le banc. Je monte, en équilibre précaire. "Ecarte les jambes". Il me balance mon sac à mes pieds. "Mets-le sur tes épaules !". Son regard en dit long, il sait qu'il joue son va-tout. Je me baisse, récupère le sac. De nombreux mecs se rapprochent. Certains canons, d'autres… J'ai envie de me rhabiller, mais je suis trop excité et j'ai envie de lui faire plaisir avant tout. J'enfile mon sac, et je me redresse à poil sur le banc, jambes écartées, offert aux yeux de tous en pleine lumière. "Branle-toi ! Fais pas ton timide."
Il est face à moi, il a ouvert sa braguette et se caresse. Je suis trempé. Je dois me retenir de pas juter. Deux, trois mecs s'approchent. Ils me regardent sans vergogne, commencent à me caresser les mollets, les cuisses. Mon beau brun est aux anges. Il se met à palper les mecs. A priori, je suis l'appât du chasseur. Un mec me touche les couilles s'apprête à me sucer. Il le repousse et le fait se mettre à genoux pour le sucer, lui. En quelques minutes, j'ai une partouze à mes pieds.
Mon beau brun finit par être débordé. Deux mecs montent sur le banc. Un arabe mignon et sexe commence à me doigter le cul déjà trempé et ouvert. J'en peux plus ! L'autre, un rouquin pas mal, me déballe sa bite et me fait baisser pour le sucer. L'arabe en profite pour m'enfiler deux doigts. Deux ou trois tee-shirts sont sur le banc. Je vire mon sac à dos, mais en le gardant attaché à mon bras. Mon beau brun est occupé avec quatre ou cinq mecs bien triés. Les autres nous matent à quelques mètres. Il garde un œil sur moi et j'adore ça.
L'arabe me fait allonger et me lève les jambes. Il commence à me bourrer, doucement puis très vite. C'est trop. Le rouquin me jouit sur la gueule. Je crie de plaisir. Mon beau brun, tee-shirt relevé et pantalon baissé s'approche de moi. Quel mec ! Les autres font comme lui. Je suis pas sûr de vouloir ce qui va se passer, mais c'est trop tard. En quelques minutes, je suis trempé de sperme. Mon beau brun me jouit carrément sur le visage, prenant un malin plaisir à me l'étaler devant les autres pour bien montrer sa propriété. Je jouis comme une chienne à ce moment-là.
Tout le monde commence à partir. Le beau brun me glisse un papier. "Mon numéro". Je tremble. J'ai froid. Il commence à faire jour. "Si on se revoit, tu me devras quelque chose". "Pourquoi ?" je lui dis. "T'as adoré ça ! Si on se revoit, je te demanderai une soirée où tu seras à ma dispo. Sache-le avant d'appeler". "Totalement à ma dispo."
Et il est parti, me laissant me rhabiller en grelottant. C'est difficile de remettre un body en étant trempé.
Je suis rentré, comblé.
Je l'ai rappelé.
Mais, ça, ce sera pour une autre fois…
J'y étais déjà allé plusieurs fois pour draguer, mais là j'avais surtout envie de me montrer. Mon bas-ventre bouillait littéralement, j'avais du mal à respirer. Un ou deux verres de vin pour me donner du courage et me voilà parti, j'avais pas besoin de blouson, c'était l'été. Mais j'en avais mis un, en dessous, j'étais en marcel. Du moins c'est ce qu'on aurait pu croire, sauf que sous le jean, le marcel s'avérait être un body qui me couvrait le corps de mi-cuisses jusqu'au haut du torse avec des brettelles. Ce petit body noir m'avait valu des plans mémorables avec mon copain du moment et j'avais envie de voir son effet sur un autre mec. Un soir d'été comme celui-là, l'Allée aux Cygnes grouillait de monde. Trop peut être…
Je tendais une drague classique, mais j'étais pas dedans. Je virais le blouson pour exhiber mon torse en semi-marcel. Ça commençait à tourner autour de moi, mais j'avais vraiment envie de plus. J'étais cho ! Mais blocage, je savais pas où j'en étais.
Retour à la maison bredouille. Quel con ! Il est trois heures et je bous littéralement. Inutile de penser à dormir. Je me dis qu'il faut que j'y aille dare-dare, si j'ai envie de me montrer en body. Un truc bien moulant qui me dessine un beau paquet et un cul génial, je dois le faire.
Je laisse le blouson cette fois et je prends mon sac à dos. Deux autres verres de vin et me voilà parti, la tête et les couilles en ébullition.
Il est tard et il reste moins de monde, mais suffisamment. Les regards sont plus pressants, des mecs se caressent contre les arbres, pantalons sur les chevilles, je mate un peu, mais j'ai surtout envie de me faire mater. Je choisis un banc à l'écart et je vire le jean sans enlever les baskets. Sauf que rien à faire ! Je suis obligé de virer les chaussures, des scratches heureusement. Je suis en body, tout tremblant.
Vais-je oser le faire ? Je range le jean dans mon sac à dos. Des mecs tournent intrigués par mon manège. Je vérifie qu'il n'y ait pas de flics, leur voiture arrivant toujours très doucement feux éteints. Je remets mon sac à dos, les bretelles du sac me forcent à me redresser à sortir mes pecs et à bomber le paquet vers l'avant. J'y vais. Je croise quelques mecs, leurs regards me touchent. Certains sont amusés et sourient à demi. Putain, la honte ! Ce qui était excitant dans la chambre ne l'est pas vraiment dans ces circonstances, même si pas mal de paires d'yeux s'attardent sur mon paquet ou mon cul. Le devant du body est trempé au niveau de la braguette et j'ai les aisselles qui ruissellent de transpiration. Un passage, deux passages… Rien.
On me mate, mais c'est pas le résultat que je voulais. Je retourne m'asseoir sur mon banc à l'écart. Je croise un beau brun qui me regarde en me toisant un peu. Un sourire sur les lèvres. Je suis vexé comme un pou. Mais je sais que je suis mignon. J'ai les joues en feu. Je profite qu'il n'y ait aucun passage pour jouer mon va-tout et je vire ce body aussi ridicule qu'encombrant.
C'est la première fois de ma vie que je suis nu sauf tennis et cho7 en extérieur (sauf plage) et surtout dans un endroit interdit. Je bande à moitié. J'enfile mon sac à dos, conscient qu'il me gêne, mais aussi qu'il met, grâce aux brettelles, ma poitrine en valeur et fait ressortir mon cul de dos. Le beau brun est de retour avec son petit sourire.
Au loin, dans la pénombre, il ne voit pas que je suis nu. Il croit que mon corps est toujours moulé dans le body. Je me fige sur place. J'ai une trouille… Mais, quand il faut y aller… Je mets mes mains derrière mon dos, décidé à ne rien cacher de mon anatomie et j'attends son passage, le menton un peu relevé, crâneur. Il arrive à ma hauteur, il me regarde droit dans les yeux, toujours moqueur. Je tremble, mais j'essaie de me contenir. Son regard glisse sur moi. D'un coup, il réalise que je suis complètement à poil devant lui. Son sourire s'efface d'un coup. Il s'arrête même de marcher tellement il est surpris. Cette fois, c'est lui qui est gêné.
Il accélère le pas en regardant autour de lui pour voir si personne le l'a vu me mater. Il avance vite, mais se retourne deux ou trois fois très nerveux. Il n'y tient plus, il revient sur ses pas. Fier de moi, je commence à bander grave, je vais m'asseoir sur le dossier du banc pour faire face à l'allée, jambes bien écartées. Il veut profiter du spectacle…
Il passe vite, ses yeux cherchent les miens, pour que je lui facilite ce qui a priori l'embarrasse. A priori seulement, il se touche à travers sa poche de jean. Je suis trop content de mon effet, je ne le regarde pas et maintiens mon air crâneur. En réalité, je suis fébrile comme jamais. Il me mate la bite, mais n'ose pas s'arrêter. Il va falloir l'aider, j'ai été un peu too much sur ce coup. Ma main descend entre mes jambes. Ma bite saute littéralement entre mes doigts. Il se retourne et me voit me branler. Il sait plus quoi faire. Il revient, lentement , mal à l'aise en regardant partout autour de lui. Il se positionne face à moi, de l'autre côté de l'allée dans l'ombre.
Il veut mater pour le moment. Ça me convient. Je bouge et me positionne sous la lumière d'un réverbère. Toujours vigilant à l'arrivée des forces de l'ordre. Un autre mec passe, il me regarde des pieds à la tête avec un arrêt prolongé sur l'entrejambes. Il est interloqué et excité, mais le beau brun le gêne. Il continue. Je commence mon show. Je me caresse les cuisses, les tétons. Il se touche. Je me retourne pour lui montrer mon cul qui dépasse bien rebondi juste en dessous du sac à dos. C'est joli et je le sais. Sa respiration est plus bruyante. Mr aime les croupions. Je me rapproche de la rambarde qui donne sur la Seine. Je vire mon sac, m'appuie les avant-bras sur la barrière métallique et j'écarte un peu les jambes, l'air de rien. En quelques secondes, sa main vient se plaquer sur mon cul brûlant. "Quelle petite pute !" me balance-t-il. L'effet est immédiat. Je suis au garde à vous. Sa main va d'ailleurs vérifier de suite. "Putain, t'es une chaudasse !". Son sourire est revenu. La bosse de son jean est sans équivoque. Les mecs commencent à tourner autour de nous.
Je suis gêné. Je m'empare de mon sac et veux me rhabiller. "Qu'est-ce que tu fais ?" qu'il me dit. "Je me rhabille". Il y a de plus en plus de monde… "Sûrement pas !". Il me pique mon sac en riant. Je commence à flipper. Il le sait. Je débande. Il rigole. J'aime ça, malgré tout. "Tu te rhabilleras quand je te le dirai" dit-il en me repoussant. "On n'allume pas sans éteindre". "Déconne pas, tout le monde nous regarde". Je suis hyper mal à l'aise. Il est tout content de lui. J'ose pas la force. J'ai peur d'attirer encore plus l'attention et il est plus carré que moi. "C'est ce que tu voulais, non ?"me répond-il narquois. "On va s'amuser un peu et si tu veux récupérer tes fringues, tu vas faire ce que je te dis". Je balise vraiment, mais même si je bande plus, L'humiliation d'être à sa merci et le centre d'attention de tous les regards m'excitent au plus haut point. Je suis rouge pivoine.
Il met mon sac sur son épaule et me claque les fesses. "Viens avec moi". "Laisse-moi me rhabiller d'abord". "T'en as pas envie !". Il a raison. "En route. Marche devant moi, je veux voir les mecs te mater et profiter de ton cul de pute !". "Où on va ?" Il m'a attrapé les cheveux (pourtant très courts) et a commencé à tirer. Sur le coup, j'ai eu un eu peur, mais après quelques secondes, je me suis mis à apprécier. "Fais ce qu'on te dit, putain !".
Et on est partis. Moi complètement à poil et lui juste derrière moi à scruter les réactions des mecs et à me taper les fesses de temps en temps, surtout quand quelqu'un voulait approcher. A cette heure-là, j'étais le plus jeune et ma tenue ne faisait plus rigoler. C'était clair, l'envie était dans presque dans tous les regards. J'étais au septième ciel, j'avais l'impression d'être vivant comme jamais. "On refait un tour, je vois que tu apprécies". Il a raison. Même si un couple se fout de ma gueule, leurs yeux en disent long. Il aime montrer son ascendant. Des mecs nous suivent, mais n'osent pas approcher.
"Stop !" me dit-il. "Monte sur le banc !" "Je veux pas, il y a plein de monde derrière". "Justement". Il me pousse sur le banc. Je monte, en équilibre précaire. "Ecarte les jambes". Il me balance mon sac à mes pieds. "Mets-le sur tes épaules !". Son regard en dit long, il sait qu'il joue son va-tout. Je me baisse, récupère le sac. De nombreux mecs se rapprochent. Certains canons, d'autres… J'ai envie de me rhabiller, mais je suis trop excité et j'ai envie de lui faire plaisir avant tout. J'enfile mon sac, et je me redresse à poil sur le banc, jambes écartées, offert aux yeux de tous en pleine lumière. "Branle-toi ! Fais pas ton timide."
Il est face à moi, il a ouvert sa braguette et se caresse. Je suis trempé. Je dois me retenir de pas juter. Deux, trois mecs s'approchent. Ils me regardent sans vergogne, commencent à me caresser les mollets, les cuisses. Mon beau brun est aux anges. Il se met à palper les mecs. A priori, je suis l'appât du chasseur. Un mec me touche les couilles s'apprête à me sucer. Il le repousse et le fait se mettre à genoux pour le sucer, lui. En quelques minutes, j'ai une partouze à mes pieds.
Mon beau brun finit par être débordé. Deux mecs montent sur le banc. Un arabe mignon et sexe commence à me doigter le cul déjà trempé et ouvert. J'en peux plus ! L'autre, un rouquin pas mal, me déballe sa bite et me fait baisser pour le sucer. L'arabe en profite pour m'enfiler deux doigts. Deux ou trois tee-shirts sont sur le banc. Je vire mon sac à dos, mais en le gardant attaché à mon bras. Mon beau brun est occupé avec quatre ou cinq mecs bien triés. Les autres nous matent à quelques mètres. Il garde un œil sur moi et j'adore ça.
L'arabe me fait allonger et me lève les jambes. Il commence à me bourrer, doucement puis très vite. C'est trop. Le rouquin me jouit sur la gueule. Je crie de plaisir. Mon beau brun, tee-shirt relevé et pantalon baissé s'approche de moi. Quel mec ! Les autres font comme lui. Je suis pas sûr de vouloir ce qui va se passer, mais c'est trop tard. En quelques minutes, je suis trempé de sperme. Mon beau brun me jouit carrément sur le visage, prenant un malin plaisir à me l'étaler devant les autres pour bien montrer sa propriété. Je jouis comme une chienne à ce moment-là.
Tout le monde commence à partir. Le beau brun me glisse un papier. "Mon numéro". Je tremble. J'ai froid. Il commence à faire jour. "Si on se revoit, tu me devras quelque chose". "Pourquoi ?" je lui dis. "T'as adoré ça ! Si on se revoit, je te demanderai une soirée où tu seras à ma dispo. Sache-le avant d'appeler". "Totalement à ma dispo."
Et il est parti, me laissant me rhabiller en grelottant. C'est difficile de remettre un body en étant trempé.
Je suis rentré, comblé.
Je l'ai rappelé.
Mais, ça, ce sera pour une autre fois…
Par Marc Tessier
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Communauté : passion exhib et voyeur
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