Mardi 29 novembre 2 29 /11 /Nov 13:53

Puisque mon fan-club me poursuit de demandes.

Matthieu, il va falloir que l'on se voie tous les deux !!

Et pour JP de Bordeaux et Laurent de Ferolles Atilly, voici l'histoire en discothèque qui m'a fait me séparer de mon ex.

On dirait que mes déboires (en un ou deux mots) vous amusent particulièrement !

Et bien voici toute l'histoire qui m'a rendu célibataire.

On était allé dîner tard avec mon mec du moment (on était ensemble depuis 4 mois) et un peu bourrés et on a décidé d'aller danser dans une petite boîte parisienne.

Avant de me mettre tout sur le dos, je tiens à préciser que nous nous étions rencontrés dans un sex-club. Lors d' une soirée "classique", j'étais si bien parti que j'avais laissé toutes mes fringues dans un casier. Il savait donc qu'il n'avait pas affaire à un ange.

Ce qu'il était loin d'être lui aussi, vu le nombre de fois où il m'avait sorti la queue dans les transports en commun ou baissé le maillot à la piscine…

En clair, il savait à qui il avait affaire et il aimait ça, tant qu'il était le maître du jeu.

Un control freak, comme disent nos amis anglo-saxons.

Enfin, nous sommes donc allés danser, près du restaurant.

Comme toujours le week-end, la boîte était bondée, remplie d'une foule assez hétéroclite, des crevettes, filles à pédé, beaux mecs et mecs un peu plus âgés.

Avec mon copain, appelons-le C. pour éviter tout problème, nous avons commencé par prendre une conso (de trop ?), puis nous sommes allés danser.

J'étais déjà un peu parti, mais de manière raisonnable. J'ai l'alcool gay (avec un "y"), alors que C. lui n'est pas forcément très sympa une fois bourré. Il devient plutôt assez lourd et graveleux, mais parfois j'aime bien aussi.

Après avoir dansé un peu, nous sommes allés nous asseoir en bas sur les canapés pour reprendre notre souffle.

Deux mecs étaient là avec leur fille à pédé : Une crevette mignonne et un beau brun un peu

dégarni, barbe de 2 jours assez excitant. Un couple…

Je fais signe à C. pour savoir s'il voudrait qu'on essaie de les brancher. Il n'a pas l'air contre.

Je commence à les regarder de manière assez appuyée. Les deux garçons rigolent et expliquent à la fille ce qui se passe.

Comme toujours avec les filles à pédé, elle est d'une discrétion légendaire et nous mate des pieds à la tête avant de faire son rapport à ses deux chéris platoniques.

On se sourit, on s'épie, c'est tout.

Je décide d'aller danser, C. préfère se reposer.

Je retourne seul sur la piste de danse. J'ai mis une casquette, un marcel serré et un jean proche du corps ainsi que des baskets.

J'ai un certain succès et je m'amuse à allumer un ou deux mecs sans être vraiment intéressé.

Mon trio arrive alors et se met à danser pas trop loin de moi.

Mais rien ne se passe et étant en infériorité numérique, je n'ose pas trop.

Je file aux toilettes (nature oblige) et je reviens avec une nouvelle conso à la main.

Je me remets à danser plus près d'eux en exagérant un peu mes chorégraphies assez maladroites.

La fille se marre, les mecs sourient.

C. ne vient pas danser, je présume comme ça lui arrive parfois, que soit il dort, soit il drague.

Dans les deux cas, j'ai plutôt intérêt à rester à ma place.

Le beau brun me chauffe avec son regard en coin, s'occupant de moins en moins de la fille et de sa crevette.

Je finis mon verre que je pose au bar. J'en profite pour retirer mon marcel, le glisse dans ma ceinture et je retourne danser torse nu près de mon trio de choc.

La fille pousse un cri pas très discret et me montre à ses deux copains.

J'ai droit à un examen approfondi qui est loin de me déplaire.

Toujours en dansant, je m'approche encore d'eux.

La fille vient alors me voir en pouffant et me demande à l'oreille : "Tu portes un slip ou un caleçon ?".

Je réponds amusé "Un slip, bien sûr".

"Je ne te crois pas" me dit-elle. "Vu la bosse de ta braguette, t'as pas de slip".

Je suis surpris. Je suis correctement monté, mais sans plus.

Je regarde et effectivement, j'ai une belle bosse qui pourrait penser que mon trois pièces remue à son aise dans mon pantalon.

En fait, je bandouille un peu comme à chaque fois que je suis un peu fait.

(quand je suis bourré, je bande carrément – contrairement à certains, l'alcool ne me fait pas débander, mais lève mes inhibitions - et quand je suis ivre mort… je vomis comme tout le monde).

"Non" je lui réponds "Je porte bien un slip".

Et je baisse bien mon pantalon pour lui montrer.

Et quand je dis bien, c'est bien. J'ai un slip Gap blanc taille basse. Je suis donc obligé de bien baisser le fût pour montrer l'élastique du slip.

Les deux mecs se sont rapprochés pour voir. La crevette devant et le beau brun en retrait comme d'hab.

Mais en baissant le pantalon, j'ai aussi baissé un peu le slip et mes premiers poils (bien taillés et donc ras la bite) font une sortie intempestive devant la file à pédé ravie du spectacle, de même que les personnes qui dansent autour de nous et qui se sont aperçues du manège.

Heureusement que la piste de danse est serrée et la discothèque petite.

De derrière, c'est pire, j'ai le pantalon à mi-fesses avec la moitié du cul à l'air. Les murs de la piste de danse n'étant faits que de miroirs, tout le monde peut en profiter !

Notre fille à pédé est aux anges et ses copains commencent déjà à saliver.

Je suis de plus en plus excité et j'ai la tête qui tourne un peu avec l'alcool.

Je m'apprête à tout remonter, mais je suis un peu coincé par le pantalon.

J'ouvre donc le premier bouton et je fais glisser la braguette à moitié pour pouvoir libérer de la place et remonter le tout.

La fille est toute contente et la crevette n'est plus qu'à deux mètres de moi. Le beau brun à un mètre de plus, à la fois gêné et amusé. Il a l'air de se demander où tout ça va aller.

Le pantalon à demi ouvert, le slip écrasé au fonds, les poils dehors et la moitié des fesses à l'air. Je dois avoir l'air soit pathétique, soit sexy, soit entre les deux.

D'autant qu'avec l'alcool, je suis un peu titubant.

C'est là que je réalise que j'ai perdu mon marcel !

Ne voulant pas rentrer torse nu de boîte, comme cela m'est déjà arrivé de maintes fois, je me baisse pour chercher mon maillot.

Je tâtonne dans le noir et le trouve enfin.

Je me relève et mon pantalon glisse sur mes cuisses et me voilà en slip dans la discothèque.

Je remonte mon slip bien descendu d'un coup (quitte à me retrouver en slibard devant tout le monde) autant que ce soit avec une certaine dignité).

La fille à pédé est morte de rire et me montre du doigt à ses deux copains qui ont le regard rivé sur la bosse de mon slip sans même lui adresser un regard.

Un ou deux autres mecs se marrent, mais dans la dizaine de personnes qui m'entourent, les regards sont plutôt évaluateurs, voire flatteurs.

N'empêche que c'est gênant, je vais remonter mon pantalon, quand la crevette arrive près de moi.

C'est un beau petit blondinet avec des yeux clairs. Il me dit "Pas si vite. T'es trop sexy comme ça".

Bien sûr, ça suffit pour m'exciter et me stopper dans mon élan.

 Il me tend son verre "Vodka-coca light, si ça te dit".

Les gens continuent de danser autour de nous, même notre fille à pédé avec un sourire satisfait sur les lèvres.

Je prends son verre en le remerciant et je commence à boire une petite gorgée pour me donner du courage.

D'une main, il me soulève le dessous du verre et me fait boire un peu plus.

Son autre main effleure négligemment le devant de mon slip un peu trop tendu.

J'ai la tête qui tourne, un peu, mais je commence à être très chaud.

Heureusement que ma casquette empêche la transpiration de couler de mon front.

Mais mon torse brille bien.

La crevette se remet à danser après avoir récupéré son verre presque vide qu'il tend à son copain déjà reparti au bar avant même d'avoir vraiment le verre en main, comme dans une course de relais.

La crevette commence à me coller en dansant. Mais moi, je suis toujours en slip avec le pantalon à hauteur de genoux.

"Mets-toi à l'aise" me dit-il à l'oreille "J'adore comme tu danses, et t'es tellement sexy en slip".

M'appuyant contre le mur, j'ôte rapidement mes tennis et je fais glisser mon pantalon.

Avant de remettre mes chaussures qui peuvent heureusement être remise sans avoir à défaire et refaire les lacets.

 

Me voilà en baskets, slip, cho7 et casquette contre le mur miroir de la discothèque, pantalon à la main.

Je le pose au sol dans un recoin avec mon marcel et je me mets à danser en slip.

Les gens se marrent, mais je m'en fous, je suis trop bien.

Je m'approche de la crevette pour danser et me frotter contre lui. La musique dance et commerciale est très facile et pas prise de tête. Parfaite pour se laisser aller.

Je sens plusieurs mains me frôler les fesses, même une me soupeser le paquet, mais je ne dis rien j'adore ça.

Les gens sont un peu trop serrés maintenant et je dois rester proche du mur et de mes fringues.

Mais les mecs se marrent en parlant de moi et ça devient un peu un jeu de me caresser discrètement.

La crevette ne dit rien et laisse faire.

Il a compris qu'il m'avait déjà à sa merci et il se contente de me mater des pieds à la tête en dansant devant moi et en échangeant des petits mots salaces avec sa copine.

Le beau brun revient à ce moment-là avec quatre verres.

Il m'en tend un et comment lui refuser quoique ce soit d'autant qu'il me roule une pelle en me le donnant. Mais tout en restant éloigné, grâce aux autres verres qu'il porte dans ses mains.

Je me mets à danser avec eux trois, en slip et de plus en plus éméché.

Je ne sais pas ce que devient C. et honnêtement je m'en fous. L'avenir prouvera que j'avais bien raison.

Mon seul souci reste mon pantalon et t-shirt qui sont par terre. Le jean contient quand même un peu d'argent, mon portable et mes clés pour renter chez moi.

Mais bon, l'alcool et l'excitation me chauffant bien, je virevolte comme un petit démon sur la piste face à mes admirateurs.

Mon slip blanc est bien ajusté et me moule bien les fesses et mon beau paquet de taille respectable et gonflé d'anticipation fait une belle proéminence dans sa poche.

L'intérieur est trempé de sueur et de bien d'autre chose, mais l'extérieur reste nickel pour le moment.

Je finis mon verre assez rapidement, pour le plus grand plaisir de la crevette qui se charge de suite de m'en débarrasser pour le refiler à sa fille à pédé.

Les femmes font aussi le service avec les gays !

Et je me retrouve à danser avec mon beau brun en face de moi et la crevette derrière.

Un peu le contraire de ce que j'avais imaginé…

Je m'approche du beau gosse pour me frotter contre sa cuisse, tandis que le blondinet commence à me souffler dans le cou.

La fille à pédé est de retour et commence à s'ennuyer.

Elle se sent un peu à l'écart.

Elle finit par s'approcher. Ses mains se baladent sur ma poitrine. Elle est bien bourrée elle-aussi !

Elle ricane pour un rien.

Elle finit par se glisser derrière moi pour danser avec sa copine crevette.

(Elle a sûrement plus d'affinité avec lui).

Pendant ce temps, je continue à danser pour exciter le beau gosse et ça a l'air de marcher.

Il s'est reculé, le regard rivé sur mon paquet.

J'en fais des tonnes avec le bas ventre pour l'exciter. Le DJ me jette des regards mauvais de sa cabine toute proche. Mais bon, je n'ai jamais vu ce DJ être sympa que je porte un pantalon ou pas.

Ça commence à s'agiter autour de moi et ça finit par embêter notre fille à pédé qui profite de son placement stratégique pour poser ses mains sur mes hanches… et me baisser le slip !

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Me voilà, la bite à l'air devant tout le monde.

En temps normal, je l'aurais bloqué avant qu'elle n'ait réussi, mais avec l'alcool et les bras levés à me déhancher, j'ai rien pu faire.

Le slip est arrêté à mi-cuisses par mes jambes écartées, mais j'ai le trois pièces qui bat la mesure, la bite à moitié durcie, et le cul complètement à l'air.

Mon beau brun s'est reculé, mi-gêné, mi-amusé, mais les yeux fixés sur moi.

J'ai deux possibilités : soit me baisser gauchement pour relever mon slip, soit faire comme lors de mes nombreux strips et aller plus loin…

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 Les cris, des gens qui m'entourent, ne me laissent pas le choix.

Mais de toute façon, la crevette me devance et se baisse pour faire glisser le slip de long de mes jambes.

Je n'ai plus qu'à lever les pieds pour m'en débarrasser. Mon assistant est très zélé pour m'y aider !

Je me remets à danser sous les sifflets et les applaudissements. Quelques mecs essaient de s'approcher, mais la piste est étroite et seule un dizaine de personnes peut me voir en tenue d'Adam.

Mon beau brun est trop gêné pour s'approcher de nouveau, mais il me mate en se touchant à travers sa poche.

Je commence à être très excité, voire trop…

La gêne s'estompe, même si mes joues sont cramoisies. Heureusement le mauvais éclairage de la disco empêche les gens de s'en rendre compte et ma casquette couvre mes yeux d'une ombre qui me permet de ne pas me sentir trop humilié, même si cela fait partie de l'excitation.

Je commence à vraiment bander. Les mecs montrent ma queue du doigt et ça devient too much !

Les mecs m'entourent et les mains se font très baladeuses.

Le beau brun, la fille et la crevette comment à se glisser dans la foule et à s'éloigner.

La crevette se marre, il a mon slip à la main et le tend en l'air !

Je me retourne pour ramasser mes fringues, mais sa copine m'a devancé, elle m'a piqué mon pantalon et mon marcel !!

Ils descendent les marches et disparaissent.

J'essaie de les rejoindre, mais avec la bite avec la verticale, difficile de fendre la foule.

Je couvre mon sexe maladroitement avec ma casquette et je tente de traverser la foule, mais les mecs et quelques nanas tentent de me retenir.

Ils ont envie que le spectacle continue. Et à vrai dire, sans la disparition de mes fringues, j'aurais sûrement été facile à convaincre

Je finis par me glisser au milieu des danseurs, le côté compact est l'occasion de me prendre quelques mains au cul, sur le torse et autre…

Un type tente de me prendre ma casquette et son copain en profite pour me prendre la queue dans sa main et commencer à m'astiquer.

Le personnel de la boîte ne s'est pas manifesté, comme d'habitude, mais pourquoi le feraient-ils ? Ils ont une attraction gratuite…

Je dévale le mini-escalier et, à mon grand soulagement, le beau brun, la crevette et leur inénarrable fille à pédé sont là assis sur les canapés du fond.

Trois quatre personnes pouffent de rire en me voyant surgir à poil, mais me laissent passer sans encombre.

Le beau brun est assis sur mes fringues.

C. n'est plus là. Et à vrai dire, même si je le remarque, je m'en fous un peu.

J'arrive devant le beau brun et je tends la main pour récupérer mes fringues, partagé entre la colère et l'excitation.

Il me regarde sans gêne. Il est le maître du jeu, désormais.

"Donne ta casquette" me dit-il.

La fille et la crevette se marrent, mais pas lui. Son regard est sérieux et appuyé.

Je lui tends la casquette. Je suis complètement à poil devant lui. Moi debout, lui assis.

"Recule dans la lumière".

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Je me recule un peu. L'éclairage est mauvais et empêche de bien discerner mon visage, mais pour le reste…

Les autres personnes assises sur les canapés rigolent, mais je préfère éviter de me retourner.

Le beau brun me mate sans vergogne, de la tête aux pieds, en insistant bien sur ma queue que je n'essaie pas de cacher avec mes mains, comprenant l'inutilité et n'en ayant pas plus envie que ça.

"Danse, mec !" me dit-il. Je suis horriblement gêné. Bien sûr,  J'ai déjà dansé à poil en public (je vous raconterai une autre fois), mais là c'est limite.

Je me déhanche vaguement et ma queue commence à monter.

Mais mes bourreaux n'ont pas envie de continuer d'être seulement spectateurs.

Le beau brun m'attrape la bite et me précipite entre lui et la crevette sur le canapé.

Avant que j'ai pu dire ouf, la crevette a plongé entre mes jambes et m'a avalé la queue dans sa bouche et le beau brun me roule une pelle assez profonde.

La fille se casse (enfin !) et on se paloche  tous les trois dans la semi-pénombre des canapés de la discothèque.

On va finir tout ça assez vite, on est tous trop excités.

Je récupère mes fringues et tout le monde se casse.

Se rhabiller dans ces conditions est assez gênant, et comme je me retrouve à sortir seul, les regards et rires des gens le sont encore plus.

J'ai jamais revu le beau brun, ni la crevette, mais vu le plan qu'ils m'ont fait et que j'ai accepté, c'est guère étonnant.

Et C. me direz-vous ?

Lorsque je lui ai téléphoné, j'ai eu droit à l'engueulade de ma vie.

Il m'a vu en slip en train de danser et un copain à lui "sympa" lui a envoyé ma photo le cul à l'air sur la piste de danse.

Ce fameux copain me l'a payé depuis, mais c'est une autre histoire !

Me voilà donc de nouveau célibataire (si ça intéresse quelqu'un).

Juste un détail pour les potentiels candidats (vous savez désormais à qui vous avez affaire).

Par Marc Tessier
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Jeudi 17 novembre 4 17 /11 /Nov 11:29

A la demande de Matthieu qui voulait d'autres photos de moi.

 

(Merci Matthieu, c'est flatteur !)

 

Il suffit de demander...

 

Voici quelques photos extraites d'une vidéo faite par mon ex.

 

Je venais d'acheter un nouveau jock-strap et je passais mon temps à faire glisser mon pantalon dans la rue pour l'exciter !

 

Il était tellement chaud, qu'il m'a fait faire un strip une fois rentrés.

 

Ce fut pas difficile à obtenir.

 

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On avait bien arrosé la soirée !

 

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Et oui, c'était un strip en musique !

 

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J'étais très content de ce nouveau jock ! Voir la tâche devant. je mouille un peu trop !!

 

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Tellement que j'étais prêt sans même que mon copain me touche....

 

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Et voilà à poil ! La bite qui danse aussi !!

 

On s'est bien amusés ce soir-là.

 

Dommage qu'il m'ait largué quelques mois plus tard parce que j'ai fini à poil dans une discothèque.

 

Les gens ne savent pas ce qu'ils veulent...

Par Marc Tessier
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Mercredi 16 novembre 3 16 /11 /Nov 16:32

Pour ceux qui ne connaissent pas, oubliez Ibiza ou Mykonos, la destination gay pour baiser c'est Playa Del Ingles.

 

Le reste ne tient plus la route depuis des années.

 

Ceux qui connaissent, auront déjà apprécié les dunes de Gran Canaria, officiellement ou non.

 

La plupart des crevettes coincées ou des anciennes crevettes toutes aussi coincées n'y vont jamais (sauf le dernier jour de vacances quand elles n'en peuvent plus).

 

Pour les autres, c'est le paradis.

 

Pour les exhib, c'est carrément le 7e ciel.

 

Pouvoir se balader sur des kilomètres à poil en extérieur en fait un des endroits préférés de ceux qui n'aiment pas trop les vêtements et qui aiment se faire mater – principalement par des gays – mais parfois aussi par des couples échangistes.

 

Et qui sommes-nous pour priver ces dames de leur plaisir visuel ? D'autant que des fois mater leurs maris ou mecs en vaut aussi la peine…

 

Toujours est-il que je revenais de la plage et après un léger crochet, j'avais adopté ma tenue préférée pour ce genre d'excursion : casquette, lunettes de soleil (ça tape vraiment !), nu-pieds de rando et… c'est tout !

 

Si on excepte le sac à dos pour ranger ses fringues, mais le fait d'avoir le dos couvert et le cul à l'air en dessous est plutôt sympa et les bretelles devant font ressortir et soulignent les pectoraux , ce qui est assez sexy.

 

Rien que le fait de me balader à poil commençait à m'exciter et j'espérais bien trouver de quoi m'amuser.

 Après avoir croisé plusieurs mecs en maillot de bain ou en tenue d'Adam, sans trouver mon bonheur, je commençais à fatiguer. Il faisait très chaud…

 

Je pris donc le chemin du retour, me dirigeant vers le dernier palmier qui ramenait à la dernière pente avant l'accès à l'hôtel RIU qui donne sur les dunes.

 

Je décidais de rester nu, je m'habillerai au pied du dernier palmier.

 

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Je longeai les sommets des dunes, qui surplombent la mini-vallée amenant au palmier, jetant un dernier coup d'œil aux mecs arrivant, espérant trouver un plan sympa.

 

Il y avait du monde, mais rien qui m'inspirait.

 

Un ou deux mecs me tournaient autour depuis un moment, sans rien tenter vraiment, plutôt pour se rincer l'œil, mais c'était loin de me déplaire.

 

Surgissant de nulle part, bien en contrebas de moi, je vois arriver un type, pas très jeune en short, t-shirt et casquette.

 

Rien qui puisse réellement m'intéresser en temps normal, mais je remarque qu'il a un appareil photo accroché à son cou.

 

Outre le fait que j'adore croiser des mecs habillés en étant à poil, ma première réaction est de me planquer derrière un buisson pour ne pas me faire photographier nu et me retrouver sur internet.

 

Je le regarde de ma hauteur, il m'a vu aussi, mais ne semble pas s'intéresser à moi.

 

Tant mieux !

 

Du moins, je crois…

 

Je me dis qu'il serait peut être plus prudent de me rhabiller. après tout, une fois la descente entamée jusqu'au palmier, je serai sur la route du retour.

 

Mais bizarrement, je sens que je suis de nouveau excité..

Pire, je mouille…

 

J'attrape un kleenex dans une des poches de côté de mon sac à dos et je m'essuie discrètement le gland.

 

Le type est en bas de moi et photographie des plantes (?).

 

C'est vrai que le site est classé et que la végétation protégée est unique, mais bon.

Pourquoi venir ici pour photographier des plantes ?

C'est plus le domaine des naturistes que de la botanique.

 

Je continue à regarder les environs et peu à peu il se rapproche du bas des dunes où je me trouve.

 

Je reste caché derrière mon buisson qui m'arrive au nombril.

 

Comme ça, je suis tranquille.

 

Mais surtout, pourquoi est-ce que je reste là ?

 

Le type continue ses photos très disséminées et finit par gravir la petite pente qui mène à ma hauteur.

 

Il serait vraiment temps de se rhabiller !

 

Mais non rien à faire, je suis super excité et j'en ai vraiment pas envie.

 

Le gars est à une cinquantaine de mètres derrière moi et me tourne le dos tout en continuant à photographier ses plantes desséchées pour la plupart.

 

C'en est presque vexant.

 

Plusieurs mecs avaient déjà essayé de me photographier dans ces dunes.

Certains ont probablement réussi sans que je ne m'en rende compte.

 

Un couple d'Anglais m'a une fois photographié en maillot de bain (pour une fois que j'en portais un, pas de chance pour eux !) et une fille m'avait aussi photographié la bite à l'air , dans le coin échangiste en se plantant effrontément devant moi avec son appareil photo.

 

Assez bizarrement, cela ne m'avait pas gêné. Je m'étais même branlé quelques jours après en y repensant et en l'imaginant en train de regarder ma photo avec son mec !

 

Je sais, ça relève probablement de la psychiatrie, mais tant que tout le monde se fait du bien !!

 

Enfin, mon paparazzi continuait à photographier les plantes sans s'occuper de moi, mais moi du fait de son approche, je commençais à bandouiller.

 

Tout à coup, il s'est retourné, m'a jeté un très rapide coup d'œil et a continué ses activités.

 

Comme il était lui-aussi sur les hauteurs, rien ne le gênait  pour avoir une vue globale. J'étais de profil, nu.

 

Ma bite de taille correcte était là de taille très correcte.

 

Intimidé, je décidais de m'éloigner, ne sachant pas de quoi j'avais vraiment envie, oscillant entre le désir et la honte. Sensation troublante et très excitante.

 

Lui semblait dans un autre monde, mais je fus pris d'un doute.

 

Je me retournais et oui ! Il était en train de me photographier le cul !!

 

Je faillis prendre mes jambes à mon cou, mais…

 

Je suis réellement tiraillé entre l'envie de me laisser photographier la queue à l'air et celle de regagner le confort et la sécurité de ma chambre d'hôtel.

 

Je m'arrête à la base d'un monticule et j'ouvre mon sac pour sortir ma bouteille d'eau.

 

Il continue à photographier n'importe quoi tout en s'approchant.

 

Je le laisse faire et après m'être rapidement et discrètement essuyé de nouveau le gland qui coule de plus en plus, je remets mon sac à dos et je me positionne sur mon monticule, face au soleil.

 

Je suis en hauteur, offert, debout jambes écartées avec le soleil sur moi.

 

Je pense que même sans être un top model, la vue doit être craquante.

 

Il risque un coup d'œil, mine de rien et continue à vaquer à ses occupations végétales.

Je place mes mains sur les bretelles de mon sac à dos et j'attends.

 

Pas longtemps, il prend une photo de loin, mais en hésitant beaucoup.

 

Il hésite se demandant si c'est du lard ou du cochon.

C'est du cochon !

 

Ma bite qui commence à pointer doit le rassurer. Il se rapproche et commence à mitrailler.

Je suis probablement en train de rougir de honte et d'excitation.

 

Pourquoi de honte me direz-vous ? Je ne sais pas.

J'ai fait bien pire, mais peut être le fait d'être en extérieur ou parce que ce type ne me plaît même pas.

 

Il arrive à quelques mètres de moi et zoome carrément sur mon entrejambes. C'est à la fois, hyper humiliant et hyper excitant (chez moi, les deux vont souvent de pair !).

 

Je me tourne pour lui offrir mon cul et j'entends le déclic de l'appareil.

Lorsque je lui refais face, ma bite est dure comme du fer.

 

Et je commence à bien transpirer et à mouiller grave.

 

Je retire mon sac à dos, plus trop sûr de quoi faire d'autre.

 

Il vient vers moi. "Putain, il va me toucher !" me dis-je et il ne plaît pas. Je vais devoir le repousser gentiment et il risque de ne pas comprendre.

 

Il laisse retomber son appareil sur sa poitrine et me dit de mettre mes bras derrière ma tête (en anglais avec un fort accent teuton).

 

Il a une belle voix douce en désaccord avec son physique assez lourd.

 

Je prends la pose et lui, reprend son appareil et  fait une ou deux photos.

 

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Il se met à genoux et me photographie d'en bas avec la bite en premier plan.

Je bande comme un âne.

 

Il vient vers moi et me retire ma casquette.

Il veut aussi m'ôter mes lunettes de soleil. Je fais signe que non.

Il me photographie de près le torse et le visage.

 

Ça me gêne encore plus que ce que l'on appelle les parties intimes.

 

Il semble très content. Et j'ai du mal à prétendre que c'est désagréable, vu le drapeau hissé !

 

Les mecs, qui se promènent dans les dunes, ont remarqué un truc suspect et commencent à se rapprocher.

 

Là, exhib ou pas, c'est trop. J'ouvre mon sac et je sors mon short pour me rhabiller.

 

Il me dit "Non, pas tout de suite. Sors ta serviette plutôt et allonge toi".

 

Comme souvent quand je suis nu, je m'exécute.

 

Je m'allonge à poil sur ma serviette, avec seulement mes lunettes de soleil et ma casquette de j'ai remise.

 

Prévenant, il déplace mon sac à dos et le place sous ma tête.

 

"Caresse-toi" me dit-il.

Je commence à me branler.

"Non, sur tout le corps d'abord."

Je commence à me caresser le torse, puis les cuisses, je fais une courte halte sur ma queue dure comme de la pierre, puis je remonte sur les tétons que je pince légèrement.

 

Il est aux anges. Son appareil photo s'active d'abord debout dessus de moi, puis à genoux entre mes jambes.

 

Quelques mecs se sont rapprochés et même l'un d'entre eux se branle, mais tous restent loin par peur de l'appareil photo probablement.

 

"Branle-toi" me chuchote-t-il.

Je ne fais pas prier, je n'en peux plus !

Il continue de me photographier, mais ne résiste pas à me glisser une main sous les couilles pour les sous-peser doucement et je n'ose rien dire, bien trop content.

 

Il se relève d'un coup et me dit "Rhabille-toi".

 

C'est un peu soudain, mais bon…

Je fais ce qu'on me dit.

 

Les mecs autour se dispersent quand il me voient enfiler mon maillot de bain et mon short, tous les deux un peu déformés par mon érection encore en place.

 

"Tu veux venir chez moi ?" me demande-t-il.

"Non",  lui dis-je "J'ai besoin de prendre une douche".

"Tu pourras la prendre chez moi" répond-il en me montrant son appareil photo.

 

C'est tenant, bien sûr, mais moins excitant que le contexte actuel.

 

Je refuse en le remerciant.

 

"On pourrait se revoir" me dit-il alors.

 

Comment refuser sans le vexer ? C'est plus la situation qui m'a excité que lui, mais comment lui dire ?

 

Il sourit. Il a compris.

 

Il s'éloigne de quelques pas et me photographie une dernière fois, habillé cette fois.

 

Puis disparaît.

 

Après quelques minutes, je réalise que je n'ai même pas son contact et donc aucun moyen de voir le résultat final.

 

J'ai cherché sur internet (assez excité d'ailleurs), mais sans rien trouver.

 

Si jamais, l'un d'entre vous a vu quelques photos d'un mec en casquette et lunettes de soleil en train de marcher à poil dans les dunes ou de poser la bite en l'air et à l'air. Faites le moi savoir.

J'aimerais bien voir le résultat !!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Marc Tessier
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Mercredi 13 avril 3 13 /04 /Avr 16:39

Une petite digression récente que j'ai choisi de vous raconter plutôt que la suite de mes aventures avec mon beau brun.

Mais nous y reviendrons ultérieurement, car il me reste encore quelques plans à vous narrer, ce type ayant eu une certaine emprise sur moi durant bon moment.

Et cela ne m'a pas vraiment déplu…

 

Donc revenons-en à un plan plus récent. Par un dimanche après-midi, j'étais partagé entre l'envie de ne rien faire et celle de sortir draguer pour tuer le temps avant d'aborder une semaine de boulot le lendemain qui serait encore plus mortelle probablement.

 

La météo ne voulant pas se montrer particulièrement clémente, j'optais pour une solution intermédiaire et j'allumais mon ordinateur.

 

Je me rendais sur mon site de webcam préféré et vêtu d'un t-shirt et d'un pantalon de survêtement, j'attendais le bon plaisir de ces messieurs en observant les autres cams.

 

"Encore un qui attend qu'on vienne le chercher !" doivent penser certains d'entre vous. Mais les autres qui connaissent mon blog le savent  : ce qui me branche tout particulièrement c'est l'exhib et d'être soumis à un autre mec.

Difficile dans ces conditions de prendre l'initiative. Bien que cela m'arrive lorsque je cherche des plans drague plus conventionnels.

Bon, au bout d'une demi-heure, rien !

Aux grands maux, les grands remèdes et autant  passer le temps de manière agréable. Je m'apprête donc à me déshabiller pour donner envie et appâter le chaland.

C'est à ce moment-là qu'un type branché "odeurs" me contacte et me demande sans même y mettre la forme : "Tu sens de la bite ? T'aime les odeurs de bite ?" (fautes d'orthographe incluses, mais non exhaustives).

Je lui réponds que je ne suis pas intéressé et je me prépare à repartir sur mon idée.

Mais la question a eu le mérite de me faire m'interroger sur un léger problème.

Je ne sens effectivement pas très bon.

J'ai passé 2 heures à faire le ménage et une douche serait la bienvenue.

Mais ça me tiraille bien aussi au niveau de l'entrejambe et je n'ai pas trop envie de m'éloigner de la webcam.

 

Une seule solution: emmener l'ordinateur avec moi dans la salle de bain et prendre ma douche avec la webcam allumée.

Je dois dire que rien qu'à cette idée, mon pantalon de survêtement se déforme déjà.

Nous voilà partis (mon PC et moi) dans la salle de bain.

 

Je vérifie que plusieurs personnes soient déjà branchées sur ma cam et me matent, mais personne ou presque ne m'a encore contacté, du moins pas pour le genre de trip qui peut me filer la trique par cam interposée.

 

J'installe mon ordi sur une chaise face à la douche et je fais couler l'eau. Je bande par anticipation.

J'avais déjà ce plan cela lorsqu'un mec me l'avait ordonné, une autre fois, par webcam, mais cela faisait longtemps que l'envie de ce genre de plan ne m'avait pas de nouveau titillé.

 

Je me désape donc tranquillement devant la cam. Je suis un peu trop près, mais une fois sous la douche, les mateurs auront un plan d'ensemble.

 

Une fois nu, je rentre sous le jet chaud de la douche sans fermer la porte.

Le réfléchissement de la lumière et la vapeur pourraient empêcher mes voyeurs de se faire plaisir et donc me retirer toute satisfaction par la même occasion.

 1 20080320 145839

Je commence un bon savonnage (gel douche) et je me frictionne le corps, insistant bien sur les fesses que j'expose longuement et sur ma bite en effervescence.

Un type tape alors sur la messagerie générale que je suis en train de prendre une douche.

Là, le nombre de mes voyeurs explose et ma queue monte direct à la verticale.

J'en fait des tonnes et je profite bien de mon heure de gloire.

Difficile d'expliquer ce que je ressens. Alors que je suis plutôt timide et réservé dans la vie de tous les jours, l'envie de me mettre nu et de me faire mater a toujours été pour moi un summum de l'excitation.

J'ai longtemps cherché des raisons, mais sans jamais trouver la vraie clé de ce qui pouvait provoquer en moi ce genre de pulsions (fréquentes chez les mecs) et j'ai décidé pour le moment d'en profiter et d'en faire profiter ceux que cela intéresseraient.

Mais revenons-en à notre histoire….

J'ai une furieuse envie de me branler, mais c'est trop bon et je veux faire durer le plaisir.

1 20080320 150643

Je préfère m'arrêter et sortir de la douche.

J'ai mouillé partout, mais ce n'est pas ma priorité du moment.

Je m'essuie longuement devant la caméra et je me rhabille, puis je prends mon PC et retourne au salon.

Je lis les messages qui m'ont été envoyés.

La plupart sont sympa et me remercie de ce bon moment. Certains me proposent des plans en duo, mais après m'être excité comme ça, ce serait difficile de me contenter d'un simple plan cam, surtout avec un seul type.

Sur tous les messages, ceux d'un type m'interpellent.

Il m'a trouvé très excitant, mais ne veut pas en rester là. Il me demande si ce que je viens de faire est une simple lubie ou si c'est quelque chose que j'aime vraiment.

Vous vous doutez de ma réponse.

Il me demande alors si je ne voudrais pas un plan réel. Il est sur Paris pour le week-end et a vraiment aimé ce qu'il a vu. Il en veut plus…

Sa façon d'écrire me plaît. Il sait y mettre les formes tout en étant à la limite de la vulgarité  à certains moments.

Je dois avouer que le contraste me séduit tout à fait.

Il est aussi très enjôleur et semble tout à fait ce que je recherche.

Bien sûr comme tout mec digne de ce nom, je me laisse emporter par ses flatteries et je me remets à bander de plus belle.

Mais lorsque j'accepte de le voir, cela se complique.

Il est marié et veut rester discret, hors de question aussi que je me présente à son hôtel.

Il me propose que nous nous retrouvions dans un sauna.

J'hésite…

Je me voyais déjà en train de prendre ma douche devant lui dans une chambre d'hôtel inconnue et l'idée m'excitait assez.

Une rencontre dans un sauna se rapproche à de la baise classique qui n'est plus ce que j'ai comme objectif après m'être exhibé comme cela devant plusieurs dizaines de types.

Je le lui écris et sa réponse est sans équivoque. Ce ne sera pas de la "baise classique", pas si je fais ce qu'il me demande.

Ma trique est de retour aussi vite.

Je lui demande de brancher sa cam. Il accepte, mais refuse de me montrer son visage.

J'insiste. Pas envie de me déplacer pour rien.

J'ai droit à un coup d'œil furtif qui me rassure assez.

Il a les cheveux poivre et sel courts, et même s'il a plus de quarante ans, il est encore très séduisant. Son corps est bien proportionné sous ses vêtements et la bosse de son entrejambe prometteuse.

J'accepte le rendez-vous. Nous choisissons ensemble un sauna et un horaire.

Mais sa première condition est sans équivoque : je devrais l'attendre dans le sauna nu…

La serviette à la main ou posée sur les épaules, mais en aucun cas autour de ma taille.

Je n'hésite pas vraiment. Ce ne sera pas la première fois que je me baladerais la queue à l'air dans un sauna. Mais c'est plutôt le genre de chose que je fais près de la fermeture quand je suis à l'agonie sexuellement, pas en arrivant d'emblée et un dimanche après-midi.

 

C'est parti ! Je préfère éviter de réfléchir et je saute dans mon jean et enfile t-shirt et baskets avant de filer comme un dératé vers ce qui semble bien parti pour être un plan très sympa.

 

Arrivé dans le métro, je réalise que j'ai intérêt à me clamer. Mon rencard ne sera pas arrivé si je continue à courir comme ça et je vais me retrouver à me balader à poil encore plus longtemps.

 

Oui, je suis exhib, mais bon là, c'est un peu plus gênant et en plus, je n'ai pas bu une seule goutte d'alcool pour me détendre.

Je m'arrête dans un bar pour boire une bière et je repars presque en courant pour le sauna.

Après un passage en caisse toujours aussi agréable avec un personnel disponible et souriant (je plaisante…), je me déshabille et pose mes affaires dans mon casier.

 

C'est le dimanche après-midi. Il y a du monde, mais sans plus. Tant mieux, j'ai quand même besoin d'une certaine mise en condition.

Je cherche mon rencard du regard, mais il n'est pas là.

Je remonte du vestiaire avec… ma serviette autour de la taille !

J'ose pas ! Ce qui est assez rare chez moi.

Je suis nerveux et je sais que s'il me voit déjà lui désobéir, il y a peu de chances que le plan fonctionne.

Mais je n'ai pas envie de passer  à poil devant le caissier qui a pourtant dû en voir d'autres.

Je décide d'aller prendre une douche. Je serai nu, mais au moins,  j'aurais une excuse.

Je prends mon temps et j'en profite pour me faire mater.

Un ou deux beaux mecs me tournent autour, mais je suis supposé avoir une rencard.

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Au bout de 5 minutes, je suis bien obligé de sortir de la douche. Il va falloir se lancer. Mon rendez-vous devrait être là et si ça se trouve, il est déjà en train de tourner et de me chercher.

 

Je me précipite dans l'escalier et hors de la vue du caissier, je défais ma serviette.

Ma bite réagit automatiquement et commence à vibrer. J'essaie de ne pas me mettre à bander.

Se balader à poil, c'est déjà pas évident, mais avec la bite en l'air, c'est une incitation au viol.

Et tous les mecs que j'ai croisés ne sont pas des top-models loin de là.

 

Je mets ma serviette sur les épaules, comme ça, j'ai l'impression d'être plus ou moins habillé.

Marcher complètement nu au milieu d'étrangers est un drôle de sentiment entre l'exaltation pure et la honte la plus extrême.

Je sais que je rougis et que je marche un peu trop vite, mais heureusement (?), je croise peu de monde dans les couloirs.

L'atmosphère du sauna est tiède, humide et sombre, ce qui me réconforte un peu, mais les regards appuyés de certains types sur mon entre-jambes et même le ricanement de deux mecs croisés dans un mince couloir me met assez mal à l'aise.

Toujours pas de trace de mon rencard internet. Ça commence à sentir le lapin.

Mais bon je continue. Hors de question de m'asseoir sur un canapé la bite à l'air, je préfère continuer à marcher.

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Un vieux me prend la bite dans la main au détour d'un couloir, je m'en débarrasse en douceur.

Mon tour viendra d'être vieux et après tout, je suis un peu responsable s'il me croit "facile".

Les deux mecs croisés auparavant se sont justement assis sur le canapé (fait de cette manière qui colle bien surtout quand vous êtes en serviette et un peu mouillé ou transpirant). Impossible de les éviter au risque de paraître encore plus ridicule. Alors tant pis, je passe devant eux. J'ai bien envie de me couvrir, mais comme ils m'ont déjà vu me balader à poil.

Je passerais pour une honteuse, ce qui serait pire pour moi que de passer pour une salope, ce qui est pour le moins assez proche de la vérité.

Ils se marrent de nouveau, mais leurs regards insistants, sur ma queue et mon cul (il faut dire qu'ils sont à la bonne hauteur…), démontrent quand même que le spectacle n'est pas pour leur déplaire.

Et je dois avouer qu'ils ne sont pas mal, ce qui efface un peu ma gêne. Malgré tout, je ne traîne pas.

Dès qu'ils ont disparu de ma vue, j'entends venant du canapé :

"Elle a chaud au cul celle-là !". et l'autre de répondre : "C'est sûrement un hollandais, ils sont tous à poil dans les saunas à Amsterdam".

Mais je dois avouer que leurs regards m'ont excité et que je bandouille. Je suis même obligé de retirer ma serviette de mes épaules pour m'essuyer le gland.

Je mouille très vite et assez abondamment, ce qui est plutôt embarrassant pour un mec qui aime se montrer en petite tenue ou sans tenue du tout.

Et juste au moment où je remets ma serviette sur mes épaules, quelqu'un me touche les fesses.

Je me retourne  entre outré et flatté pour découvrir… mon rencard.

Il était derrière moi et profitait du spectacle à priori.

Je me retrouve face à lui dans le plus simple appareil. Il sourit et prend son temps pour détailler la marchandise.

Seductive

"Encore plus mignon que par webcam."finit-il par me dire, les yeux rivés sur ma queue.

Je prends le temps de le détaller aussi, il est très bien foutu dans le genre mince et sec et sa serviette se déforme un peu pendant qu'il me regarde, ce qui n'est pas pour me déplaire.

C'est surtout son regard vicieux ou de mec en manque qui me séduit tout particulièrement.

"On va bien s'amuser" me dit-il.

"J'espère bien." Je lui réponds, la voix un peu tremblante d'émotion et d'excitation.

"On va faire un peu connaissance d'abord, si ça ne te dérange pas ?".

"Pas de problème, je m'appelle Marc…" j'enchaîne de suite.

"Pas comme ça" me dit-il, "viens."

Il me fait repartir en sens inverse vers les deux mecs du canapé."Merde!" me dis-je à moi-même.

Nous arrivons près des deux mecs et il s'arrête. L'angoisse…

Il s'adosse au mur et commence à me parler tout bas. Les deux mecs n'entendent pas avec la musique, mais les quatre mètres qui nous séparent leur laissent tout loisir de mater.

"Ils ont l'air de beaucoup t'apprécier d'après ce que j'ai entendu en passant devant eux."

Je suis face à lui, ils ne voient pour le moment que mon cul, mais c'est assez gênant. D'autant que mon rencard est appuyé contre le mur et pas moi.

"Comme ils avaient l'air déçus de te voir disparaître aussi vite, j'ai pensé qu'on pourrait discuter un moment ici."

"Et pas question que je remette ma serviette, je présume ?", je lui demande sans trop y croire et sans même vraiment le vouloir.

"Pas question en effet. Tu m'as dit aimer faire plaisir aux gens et bien là, crois-moi, tu leur fais plaisir".

"Au fait, je m'appelle Franck".

"Enchanté" que dire d'autre ?

La situation est au croisement de mes fantasmes et de mes hontes les plus intimes.

"Tu as l'air mal à l'aise" me dit-il. "Tu devrais te mettre comme moi."

Ce qui voulait dire me retourner et faire face aux deux nigauds assis juste à hauteur de ma bite avec seulement quelques mètres entre nous.

En plus, nous sommes dans un coin où le soleil tape sur les carreaux et même si les fenêtres sont masquées, la lumière chaude et douce est loin d'être basse.

Il se pousse pour me laisser un peu de place.

"Allez, te fais pas prier."

Je m'exécute. Me voilà contre le mur en biais devant les deux mecs à côté de mon rencard.

J'ai relevé la jambe pour cacher ma bite.

Ils ne doivent voir que la naissance des poils.

"Alors" me dit Franck "comme ça, t'es exhib." C'est pas une question, en même temps vu la situation…

"J'adore les exhib et les petites salopes comme toi".

Un détail : le mot salope m'excite toujours. Inutile de chercher à comprendre pourquoi, le féminin, l'insulte ? Je ne sais pas, mais ça marche.

Je déglutis.

"J'ai adoré ton show sur internet, mais te voir en vrai est un régal. Tu as l'air vraiment dévergondé" (le mot me choque un peu par son côté désuet, mais c'est le contraste qui m'avait plût dans ses messages.

"Et tu ne laisses pas nos deux amis indifférents."

Effectivement après deux ou trois ricanements, ils chuchotent mais ne nous quittent pas des yeux. L'un d'entre eux se touche de temps en temps comme si ça le grattait.

"Bon, il faudrait que tu te détentes un peu" dit-il en fixant mon début d'érection que je tente de dissimuler avec ma jambe repliée.

Quelques mecs passent dans le couloir et s'amusent de la situation. C'est vrai que c'est un peu cocasse.

"Donne-moi ta serviette" me dit-il.

"?" Mon air interrogatif parle pour moi.

"Elle est trempée et elle te gêne" Dit-il en souriant "Et en plus, elle empêche tes fans d'admirer tes pecs."

Que voulez-vous que je fasse ? Je fais ce qu'on me dit. Du coup, je bouge et je baisse la jambe. Mon public est ravi.

Je tends ma serviette à Franck. Il la prend dans sa main. Et comme j'allais relever la jambe pour cacher mon sexe qui recommence à mouiller, il pose sa main sur ma cuisse et en appuyant doucement mais fermement, me force à reposer la jambe au sol.

Me voilà, totalement à poil, adossé à un mur, transpirant et mouillant de la queue, livré à tous les regards.

Là encore, c'est entre humiliation et réalisation de fantasme. Difficile de savoir si j'apprécie. Mais les deux nigauds commencent à s'agiter sur leur canapé.

"Je vais te chercher une serviette" me dit Franck.

Je m'apprête à le suivre.

"Non, reste-là. Continue à te donner en spectacle, ils adorent et toi aussi".

Je suis du regard son hochement de tête. Je commence à bander. C'est horriblement gênant.

"Je t'interdis de bouger, c'est clair ?".Son ton est sans équivoque.

Et le voilà qui s'en va, me laissant complètement nu, livré aux regards de tous et tout particulièrement des deux nigauds.

Eux sont ravis ! L'un des deux, celui avec les cheveux frisés, a défait sa serviette et joue avec sa bite en me matant sans aucune gêne.

SAUNA5

Je me mets à bander. Plusieurs mec passent et je suis toujours les mains derrière le dos, à poil contre le mur, la bite dressée comme un "i".

Plusieurs des passants s'arrêtent pour mater la scène. Il faut dire que ça devient hot.

L'un des deux nigauds se lève et s'approche de moi. Il se positionne devant moi et laisse ses yeux se promener sur tout mon corps, s'attardant sur ma queue.

Sa main se pose doucement sur mon ventre. Elle est brûlante. Je sursaute légèrement, mais je ne bronche pas. Un type âgé se rapproche et tente de me toucher la bite. Le nigaud debout à côté de moi, le repousse fermement.

C'est lui qui glisse sa main entre mes jambes et doucement se saisit de mes couilles. Son copain profite pleinement du spectacle.

Il a carrément ouvert sa serviette qui pend de chaque côté sur le canapé et se branle doucement.

Celui qui me caresse les couilles, remonte doucement le long de mon manche.

"Tu es trempé !" me dit-il.

C'est vrai !

Il retire sa serviette et se tient nu dans le couloir devant moi. Il a un très beau corps. Avec sa serviette, il m'essuie doucement le gland. Le contact du tissu râpeux et sa nudité exposée ne sont pas loin de me faire partir.

Je ramène mes mains devant moi pour bloquer son geste de va et vient.

 Il en profite pour me prendre la main et commence à m'entraîner vers le canapé.

J'hésite… Franck m'a donné un ordre. Et même si ma libido est déchaînée, j'ai envie de voir jusqu'où ça peut aller avec mon rencard de départ.

Mais bon, le séduisant nigaud (surtout un fois dénudé) m'entraîne vers le canapé et je me laisse aller.

Je me retrouve debout devant son copain assis bite à la main.

Il prend ma queue dans sa bouche et commence à me sucer goulûment.

L'autre s'est glissé derrière moi et me pétrit les fesses sans aucune gêne.

Le nigaud sur le canapé s'écarte et se pousse pour me faire la meilleure des places.

Je m'assois et me retrouve assis entre les deux.

Nous sommes en décalé par rapport à une cabine dont la porte est ouverte.

Et surprise ! Franck est dans la cabine en train de nous mater.

Il est évident qu'il avait préparé son coup et avait dû faire signe aux deux autres de s'occuper de moi.

Il se branle en nous regardant. Il n'est pas le seul. 5 ou 6 mecs se sont arrêtés et nous reluquent en se caressant.

D'autres passent avec une mine dégoûtée ou jalouse, mais bon, c'est pas trop le moment pour moi de réfléchir, ni de lancer un débat.

 

(la suite dans 15 jours)…

 

 

 

 

 

Par Marc Tessier - Communauté : photo video gay exhib :
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Jeudi 25 novembre 4 25 /11 /Nov 16:08

Didier, le beau brun devait me rappeler le soir même.

Après la soirée passée avec ses amis (?), l'épuisement aurait dû me faire dormir instantanément à peine frôlé l'oreiller.

Mais je m'étais assoupi durant la partouze entre deux baises et l'excitation de ce que je venais de vivre ne me laissait aucun répit.

La culpabilité, non plus…

Je m'étais retrouvé nu et humilié devant une douzaine de mecs et certains d'entre eux m'avaient même filmé ou photographié avec leur portable. J'allais sûrement payer les conséquences de cet acte très cher.

Sans me destiner à une carrière dans la politique ou le show-biz, le fait de me retrouver à poil sur Internet  pourrait m'amener des emmerdes à l'avenir que ce soit au niveau du boulot ou de la famille. Il y a toujours un cousin, un oncle ou un collègue qui passe ses journées à mater des trucs de cul sur la toile et le risque restait énorme.

Alors pourquoi, le seul fait de repenser à cette soirée me foutait-il à nouveau la trique ?

J'étais hyper angoissé dès 19 heures. Dans quoi allait donc encore m'entraîner Didier qui devait me rappeler à 20 heures ?

Serai-je à la hauteur ?  J'avais failli refuser son plan précédent et je savais qu'il ne me laisserait pas de deuxième chance.

Si je refusais, il me jetterait dans un claquement de doigt et passerait à un autre.

Il avait le physique et pouvait tout se permettre. Et je me doutais bien que les autres types ayant le même genre de fantasmes que moi lui mangeraient dans la main. Au propre, comme au figuré.

 

20 heures… et toujours pas d'appel.

20h30… toujours rien.

21 heures, je prends mon courage à deux mains ( à 21h05) et je l'appelle.

Pas de réponse. Boîte vocale.

Il va falloir que je me fasse une raison, il m'a planté !

Il a eu ce qu'il voulait et doit bien se foutre de ma gueule avec ses potes en matant mes photos ou en les foutant en ligne.

22 heures, le téléphone sonne. Comme un crétin et sans aucune retenue, je décroche immédiatement.

Il se marre au bout du fil.

"Alors on gamberge ?" me balance-t-il entre deux ricanements.

Il a l'air un peu bourré. Pour une fois que ce n'est pas l'inverse.

"Rendez-vous dans notre bar habituel dans 15 minutes" me dit-il.

"Si t'es pas là à l'heure, on reporte. Je suis crevé de toute façon et j'ai trop bouffé et picolé".

Le porc ! Et moi qui n'ait même pas dîné en attendant son coup de fil.

Et en plus, il a raccroché avant même que je ne réponde.

Il me faut au moins 20 minutes pour arriver là bas et il le sait.

Un taxi ou le métro me ralentirait encore plus. Heureusement je me suis déjà douché et habillé.

Je pars en courant, traverse la seine à toute allure et j'arrive dans un état assez pitoyable au bar de la veille. Nous sommes en plein été et il fait orageux, c'est assez insoutenable.

Il n'est pas là.

J'attends devant le bar. 5 minutes, 10 minutes…

Le fils de pute ! Là, ç'en est trop, je me tire !!

On tape sur la vitre derrière moi.

C'est le serveur qui me fait signe d'entrer.

C'est le même type qu'hier. Il est habillé style brasserie avec chemisette blanche et pantalon noir. Il a le crâne rasé, mais a de beaux yeux et est assez sexy.

Mais je ne suis pas là pour ça, ni pour lui.

J'entre dans le bar. Il y a très peu de monde.

Le serveur me fait signe de le suivre.

Et je vous le donne en mille, je fais ce qu'on me dit.

Il me conduit au fond et pose une enveloppe sur la table en me montrant la banquette face à la lettre.

Je m'assois. Le serveur est reparti avec un sourire en coin.

J'ouvre l'enveloppe.

Je commence à lire ne me demandant dans quoi je me suis encore fourré cette fois-ci.

J'en bande déjà.

Un coca vient d'apparaître sur ma table en face de moi.

Le serveur me fait un sourire et avec la main me fait comprendre qu'il est inutile pour moi de parler.

En lisant, je porte le coca à mes lèvres. J'ai encore chaud après ma course effrénée.

Ce n'est pas du coca, mais un whisky-coca où d'ailleurs le breuvage américain semble être en infériorité évidente sur l'alcool.

Je lis la lettre en souriant. Si Didier me fait boire, il a une idée derrière la tête.

La première directive est de ne pas retourner la lettre pour le moment, mais de me contenter d'exécuter la première phase de la missive.

a)      Finir mon verre.

b)      Défaire ma ceinture, ouvrir mon pantalon et descendre pantalon et slip sur les chevilles.

c)      Me décaler par rapport à la table et tout montrer au serveur qui va m'amener mon deuxième verre.

Je déglutis. Il n'y a peu de gens dans le café et  tout le monde est entassé en terrasse, mais quand même…

Il faut dire que la température approche les 30° à l'intérieur.

Je regarde rapidement le serveur. Il est dans la connivence, bien sûr, mais à quel point ?

S'attend-il vraiment à ce que je lui balance mon service trois pièces sous le nez ? Ou Didier m'a-t-il fait une dernière farce douteuse avant de disparaître ?

Le serveur est derrière le bar et prépare… un whisky-coca.

Il va falloir que je me décide.

Dans le café, personne ne bouge. Les gens discutent et sont tournés vers l'extérieur.

Les gens dehors ne devraient pas me voir.

Le serveur a fini sa préparation et ne va pas tarder à venir vers moi.

Je retourne la lettre : "Allez petite pute ! Ne me déçois pas !".

Je suis hyper angoissé et j'ai du mal à respirer, mais c'est maintenant ou jamais.

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J'ouvre la ceinture, défais ma braguette -  le serveur arrive -, descends pantalon et slip d'un coup, mais le slip reste accroché à ma bite en pleine érection.

Je me débats fébrile et descends le tout, non sans me cogner la tête contre la table au passage.

Il est déjà là devant moi.

Sur son plateau, mon 2e whisky-coca et une autre lettre.

Il ne bouge pas.

Putain ! J'ai oublié de me décaler.

Je me glisse tant bien que mal sur la banquette.

La peau moite de mes fesses colle dessus.

Et me voilà face à lui, cuisses écartées, drapeau dressé en me demandant s'il ne va pas se mettre à hurler.

Son sourire commercial s'efface et ses yeux se délectent du spectacle.

Il prend son temps.

D'un coup il me fait signe de repartir derrière la table.

Un client s'est levé pour aller aux toilettes. C'est la panique !

Je me précipite tant bien que mal derrière ma semi protection de table.

Le vieux aux cheveux grisonnants passe sans s'apercevoir de rien.

Mon serveur sourit d nouveau.

Je me précipite pour me rhabiller.

Il pose sa main sur la mienne pour m'arrêter.

Je ne vais quand même pas resté la bite à l'air en plein bistro ?

Il pose une nouvelle enveloppe et mon 2e verre devant moi et s'en retourne derrière son bar.

Il est en oblique vis-à-vis de moi, mais peut voir sous ma table !

Et tout en s'affairant, il me mate sans gêne.

Je rebois un coup.

Mon érection est redescendue. J'ai eu peur.

Le vieux repasse dans l'autre sens et retourne à sa table en me regardant bizarrement.

Il doit se demander pourquoi je suis rouge comme un coquelicot.

J'ouvre la deuxième enveloppe.

"Là, ma salope. Il va falloir être rusé et courageux…"

Je commence à paniquer, l'érection est retombée.

"Vincent, note gentil serveur a été déçu de ne pas voir ta bite hier. Tu l'as rangée trop vite et il a tout raté. Je lui ai promis qu'il aurait une compensation ce soir".

Si j'avais su, j'aurais pas été aussi rapide hier, cela m'aurait évité bien des tracas.

"Voici tes nouvelles instructions : sois une bonne petite pute !

Si tu fais ce que je te dis, tu seras récompensé pour ta peine".

Le fameux Vincent se marre dans coin, mais continue à me mater la bite sans vergogne.

Je lis : "

a)      Tu vas boire ton verre.

b)      Tu vas enlever ton pantalon et ton slip de chienne discrètement et remettre tes chaussures.

c)      Tu vas bien observer les allées et venues, puis te décaler vers le coin de la table comme tout à l'heure.

d)      Au signal de Vincent, tu retires ton tee-shirt, tu te lèves et files aux toilettes. Tu laisses tes fringues sur la banquette".

Je suis éberlué. Je ne vais pas traverser l'arrière du café à poil ?

Ma table n'est même pas la plus proche des chiottes !  Et le pire c'est de laisser mes fringues derrière moi et de me retrouver totalement impuissant !! Je vais finir au poste. Là, ça va trop loin, même si en lisant le mot "pute", j'ai presque eut l'impression d'entendre sa voix et que ça a relancé mon excitation… du moins intellectuellement.

"C'est pas fini, tu entres dans les toilettes et tu vas à l'urinoir. Tu attends que quelqu'un entre pour pisser devant lui.

Ensuite, tu vas devant le miroir comme pour te laver les mains et tu te branles en te caressant comme la salope que tu es sans tenir compte de quoi que ce soit."

Rien que de lire cela, je suis de nouveau au garde à vous, même si je ne m'imagine pas le faire.

Un 3e verre vient d'arriver devant moi. Didier et Vincent ont tout prévu, on dirait.

Il faut dire que le 2e n'avait pas fait long feu.

Vincent est déjà reparti à son poste de garde et vérifie toutes les deux trois secondes l'état de mon entre-jambes.

Je bois mon verre en deux fois en faisant la grimace et sans plus réfléchir et avec maladresse, je retire mes chaussures et enlève pantalon et slip. Vincent n'en perd pas un miette et commence même à se toucher. Je peux m'en rendre compte en devinant les mouvements de sa main derrière le bar.

Je remets tant bien que mal mes chaussures.

Je regroupe mes fringues sur la banquette et glisse mon slip sous les fesses pour pouvoir plus rapidement me décaler vers la gauche.

Je regarde la salle, c'est très calme, mais ça n'empêche que je tremble comme une feuille. De peur ? D'excitation ? Des deux, on dirait bien.

Je me décale et je suis prêt à me lever. Je suis cuisses écartées entre les deux tables, vêtu de mon seul tee-shirt, chaussettes et tennis.

Contrairement à tout à l'heure où j'étais droit comme un "i", je suis un peu affalé (l'alcool ?) sur la banquette, bien offert pour que Monsieur profite du spectacle.

Vincent observe un moment la salle et me fait signe.

Je jette un dernier coup d'œil, me redresse, enlève maladroitement le t-shirt et me lève la bite raide devant lui.

Il est un peu éberlué, je crois. Il me regarde, mais reporte son regard sur la salle avec inquiétude.

Il me fait un nouveau signe.

J'abandonne mon t-shirt sur la banquette et me dirige vers les toilettes un peu paniqué.

Le fait de bouger m'a fait sortir de mon état second.

Je file dans les WC, manque de me tromper et d'aller chez les dames et rentre chez les mecs.

Pas de verrou…

Je ne peux rien faire, sinon m'enfermer dans une cabine ou repartir en sens inverse chercher mes fringues avec le risque que cela comporte.

Autant aller jusqu'au bout.

Mon reflet comme je passe devant la glace pour me rendre devant l'urinoir, me fait réaliser ma complète – ou presque nudité. J'ai commencé à débander, mais n'en reste pas moins que je n'ai pas de vêtements sur moi, hormis mes tennis et chaussettes.

Je me poste devant l'urinoir en tremblant.

J'ai la trouille de ma vie !

Je suis à poil dans un lieu public, le dos tourné à la porte sans visibilité… et j'ai envie de pisser.

Quelques secondes s'écoulent et j'entends la première porte s'ouvrir, puis une seconde.

C'est à côté. Chez les femmes !

Heureusement que la dame en question ne s'est pas trompée. On aurait eu droit à un cri digne d'un film !

Une trentaine de secondes encore et la première porte s'ouvre à nouveau, puis celle des toilettes hommes. Je me crispe, m'attendant au pire.

La porte se referme, un pas lourd résonne derrière moi.

"Ne te retourne pas et baisse les yeux."

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Ce n'est pas la voix de Didier et ça ne correspond pas non plus avec le physique de Vincent.

Mais bon, ça ne veut pas dire grand chose…

Le type s'est placé derrière moi. Je sens sa respiration sur ma nuque.

Il est très proche, mais ne me touche pas.

Une chose est sûre, il est grand. Plus grand que moi et plus carré aussi.

Il porte des chaussures classes, pas des baskets ou même les chaussures noires du serveur.

Des pompes que je trouverais moches en magasin, mais qui valent de l'argent.

Il est juste derrière moi à quelques millimètres.

Je sens sa chaleur sur mes fesses dénudées.

Sa main passe devant mes yeux. Il tient son portable et l'oriente vers ma bite.

"Pisse… doucement".

Putain ! Il est en train de me filmer la bite pendant que je pisse…

Je ne suis pas sûr de pouvoir y arriver, même si j'en ai très envie.

Et pourtant son souffle sur ma nuque, dans mes cheveux, sa respiration haletante pleine d'envie m'excite.

Il manquerait plus que je me mette à bander !

Ça finit par venir et tout en essayant de contrôler au maximum, j'urine tout en matant le spectacle à travers son portable.

"Stop !" me commande-t-il.

Je m'exécute tant bien que mal.

Mais je me sens déjà mieux.

"Recommence". Sa voix est autoritaire et douce à la fois. Assez âgée.

Je me remets à pisser devant son portable.

Je termine.

"Secoue ! Secoue bien!"

Là, je vais me mettre à bander c'est sûr.

La porte des toilettes s'ouvre.

Putain, on est foutu.

Le type s'est arrêté sur le seuil.

J'entends du bruit.

La porte se referme.

Le mec entre dans une cabine et referme la porte.

Il m'a peut être pas vu derrière l'armoire à glace.

"Ne bouge pas et ne te retourne pas. Garde les yeux baissés. Lorsque je serai sorti, tu feras ce que tu as à faire".

Je présume qu'il parle de la fin de la lettre.

Il s'écarte. La lumière de son portable glisse sur mon dos.

Il est en train de me filmer le cul !

Bien sûr, je sens immédiatement un tiraillement au niveau de l'entrejambe.

Le portable claque.

Il a fini son chef-d'œuvre du 7e Art, seuls ma bite en train de pisser et mon cul nu l'intéressaient  à priori.

Au moins, si ça finit sur Internet, on ne me reconnaîtra pas.

Son pas lourd s'éloigne. La porte des toilettes s'ouvre et il sort.

Je quitte l'urinoir.

Je suis supposé me mettre dos aux cabines et face au grand miroir et me branler "comme une chienne" en me caressant.

Seul problème, il y a un mec dans une des cabines. Et je ne sais pas s'il est là pour ça.

Et si la porte extérieure s'ouvre… Impossible de rater le spectacle !

De toute façon, je suis coincé ici sans mes fringues et jusqu'à présent, Didier me m'a jamais réellement laissé tomber, même s'il s'est servi de moi. Mais l'inverse est aussi vrai.

Mais en même temps, il n'est pas là. Il m'a carrément prêté à son copain serveur et à l'autre fan d'uro.

Tout à coup, j'entends le type de la cabine qui bouge. On dirait qu'il s'est assis.

Il ne peut pas me voir, à moins d'ouvrir la porte.

Je regarde mon reflet.

Ça fait drôle d'être comme ça complètement à poil devant ce grand miroir dans ces chiottes vides.

Je ne suis pas un mannequin, mais assez narcissique pour reconnaître que je suis pas mal. En tous les cas, je fais de l'effet.

Je fais du sport et ça se voit. Beaux pectoraux, beau torse, les abdos un peu dessinés surtout dans cette lumière douce. Imberbe, j'ai jamais été poilu. Les cheveux très courts et les yeux bleus. C'est pas Brad Pitt, mais c'est pas vilain.

J'ai une bite correcte –17 cm en action – et les couilles bien pleines et ça se voit.

Je me suis rasé autour de la queue et les bourses, mais tout en laissant un peu de poil au-dessus comme les acteurs de films de boules.

Comme je suis exhib et assez nombriliste, je commence à bander rien qu'en me regardant.

Alors, autant y aller.

Je commence à me caresser la poitrine et à me pincer les tétons.

Ma queue est déjà à l'horizontale.

Un bruit sur ma droite. La porte de la cabine s'est entrouverte. Le type me mate…

Je ne le vois pas, juste l'entrebâillement de la porte me permet de savoir qu'il est là à me regarder.

Autant qu'il en ait pour son argent. Idem si quelqu'un entre. Le show doit en valoir la peine.

Je continue à me caresser d'abord maladroitement puis lascivement. La porte s'ouvre un peu plus. Un truc roule à mes pieds. Un flacon de poppers !

On dirait bien que Didier a donné ses consignes.

Je le ramasse en prenant mon temps. Si mon voyeur aime les culs, autant lui faire plaisir.

Ce salaud est tellement bien placé qu'il me voit à la fois de dos et de face dans la glace.

C'est ce qui s'appelle être exposé.

J'inhale longuement le poppers par chaque narine en prenant mon temps. Le premier effet est de me faire débander un peu.

Mais, peu après, mon cœur se met à s'accélérer. La tête me tourne un peu et mon entrejambe est brûlant. Je commence à me caresser lentement et à me déhancher comme la petite salope que je ne peux être que grâce à la drogue et à l'alcool conjugués.

Ma nature profonde se fait jour et la "chienne" que mon beau brun m'avait demandé d'être apparaît enfin.

Je me claque les fesses, perdant tout sens de la mesure et sans me soucier du bruit.

Je bande comme un âne.

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La porte de la cabine s'ouvre.

Vincent est assis sur la cuvette rabattue. Le pantalon et le slip sur les chevilles, la chemise ouverte.

Il est super bien foutu et sa bite à la main me laisse présager un bon moment à venir.

Il s'astique quelques secondes en me regardant, puis me fait signe d'approcher.

Je m'agenouille entre ses jambes et commence la deuxième chose pour laquelle je suis très doué en lui taillant une pipe d'enfer.

En même temps, j'ouvre à nouveau le flacon de poppers et en aspire une nouvelle dose. Je le remets dans ma chaussette droite.

Là je décolle avec sa bite dans la bouche, j'enroule ma langue autour de sa queue et le suce goulûment sans inhibition. Sa queue vient heurter le fonds de ma gorge sans provoquer de haut-le-cœur grâce à l'action libératrice du poppers.

D'un coup, il se lève et me prend l'arrière de la tête dans une main.

Il m'approche de sa queue et en criant presque, me balance son liquide épais au jet puissant sur le visage.

J'essaie de ne pas fermer les yeux, mais c'est impossible.

Je sens sa main qui passe devant ma figure et qui m'étale son sperme sur la gueule.

Je jouis aussi, à genoux entre ses pieds.

Il bouge. Il a pris une serviette en papier et m'essuie délicatement la figure.

"Didier ne m'a pas menti. Tu en valais la peine."

Il me fait me relever et me roule une pelle d'un romantisme déconcertant.

"Tes fringues sont dans la cabine, va te rhabiller".

Effectivement, mes habits sont rangés bien pliés dans un coin de la cabine et m'attendent.

"Avant de partir, enlève le panneau sur la porte et ramène-le moi au bar. J'ai une lettre pour toi."

Il sort.

Je me rhabille rapidement.

Et je quitte les toilettes. Un panneau est accroché sur la porte disant que les WC hommes ne fonctionnent pas et de se rendre chez les dames.

C'était une sécurité, mais il y avait toujours le risque qu'un type dans la lune ou qu'un habitué entre sans le lire.

Je retourne dans le café. Vincent est derrière son bar.

Je lui rends la panneau et il me tend mon enveloppe avec un sourire craquant.

"Si un jour, tu te lasses de Didier, passe me voir". me dit-il.

Je sors presque en sifflotant du bar, mon enveloppe à la main et je décide la garder pour quand je serai rentré.

Après quelques pas, je réalise que je n'ai même pas regardé si je reconnaissais le type qui m'avait maté à poil en train de pisser.

J'ai bien compris que Didier n'était pas en forme ce soir, mais ne voulant pas me planter, m'avait mijoté un plan pour m'éviter de m'ennuyer .

Le moins qu'on puisse dire, c'est que c'était réussi !!

 

Par Marc Tessier - Communauté : photo video gay exhib :
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