Jeudi 14 mai 4 14 /05 /Mai 15:31

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Bientôt l'été et je me suis trouvé un maillot de bain assez sexe !

 

Une fois mouillé derrière, il est transparent.

 

Peut être vais-je retirer la doublure devant ?

 

Ca m'a donné l'idée de faire un petit concours, envoyez-moi vos photos en maillot ou sans !

 

Je publierai sans censure (au contraire).

 

Ecrivez-moi à tjoueur@hotmail.fr

 

A très vite.

 

Marc.

Par Marc Tessier
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Jeudi 14 août 4 14 /08 /Août 19:10

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Mathieu, mon nouveau fuck-buddy m'a demandé de me filmer en train de me rhabiller à la gym.

 

Il me demande maintenant de vous inclure dans les défis qu'il me pose.

 

Envoyez les moi dans les commentaires ou écrivez-moi à tjoueur@hotmail.fr

 

Bisous à tous (et à toutes -j'ai quelques filles qui me suivent)

Par Marc Tessier - Communauté : photo video gay exhib :
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Mercredi 13 août 3 13 /08 /Août 16:30

Tu me l'as demandé et voilà...

 

Toujours une occasion de montrer ma queue !

http://www.xtube.com/watch.php?v=MeEbg-G492-

Par Marc Tessier
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Jeudi 17 avril 4 17 /04 /Avr 16:21

 

J'adore faire du jogging, surtout quand je suis en vacances.

 

Ce mois de septembre dernier, j'ai profité d'une superbe matinée sur la côte atlantique pour partir courir tôt.

 

J'ai longtemps couru - avec une idée derrière la tête probablement - pour finir en sueur sur une des plages gays dont on m'avait parlée.

 

Située après un ancien bunker et près d'une forêt de pins, la plage était déserte. Il devait être 8 heures du matin.

 

J'aime courir à la fraîche.

 

A bout de souffle, je décidais de m'arrêter pour me remettre et faire mes 60 pompes matinales.

 

Je décidais de commencer par les 60 pompes.

 

Tant qu'à transpirer, autant y aller carrément.

 

Je m'exécutais et vraiment crevé, je finis assis dans le sable.

 

Le soleil commençait à taper et il faisait déjà très chaud.

 

L'océan me tendait les bras, les vagues me faisant presque signe de les rejoindre.

 

Après un nouveau coup d'œil pour vérifier être bien seul, j'ôtais mes baskets et chaussettes et je décidais d'aller me tremper les pieds.

 

L'eau était merveilleusement fraîche et la plage toujours aussi déserte.

 

L'absence de serviette pour me sécher me freinait un peu, mais la plage restant vide de tout être humain, je décidais de retourner sur la page et de retirer le reste de mes vêtements.

 

Une fois nu, après une dernière vérification de ma solitude, je me glissais avec délice dans l'eau (par étape, on n'est pas sous les tropiques non plus).

 

Je nageais un peu, toujours sur le qui-vive. Puis je finis par me laisser aller.

 

Mais l'heure avançait et la plage allait sûrement finir par être envahie.

 

En même temps, c'était un bout de plage fréquenté par les gays, mais plus très naturiste et avec beaucoup de passage en journée.

 

Je commençais à sortir de l'eau quand je vis face à moi, au début de la pinède, un mec.

 

J'avais trop traîné dans l'eau...

 

Je ne le voyais pas très bien - il était trop loin -, mais il était habillé et tourné vers la mer, face à moi.

 

Deux possibilités :  repartir dans l'eau ou enfiler mes vêtements le plus vite possible.

 

La deuxième me paraissait difficile, tout en étant trempé.

 

Un reflet de lumière m'aida à me décider.

 

Le type me matait avec des jumelles !

 

Je commençais à sortir de l'eau rapidement pour courir enfiler mon short (Tant pis pour le slip qui ne serait jamais passé sur mon corps mouillé sans m'essuyer avant), mais mon observateur ne semblait pas décidé à regarder ailleurs.

 

Au fur et à mesure que mon corps sortait de l'eau, j'en étais à la ceinture, ses jumelles se promenaient curieuses et méticuleuses.

 

Je décidais donc de ralentir le pas, sentant ce délicieux tiraillement dans le bas-ventre, et de prendre mon temps pour sortir de l'eau.

 

S'il ne savait pas que j'étais nu, il devrait vite être gêné et retirer ses jumelles de devant ses yeux quand il s'en apercevrait.

 

Pour ne pas apparaître à mon désavantage, je glissais ma main dans l'eau pour tirer sur ma queue et la remettre à sa tailler normale.

 

Les naturistes savent de quoi je veux parler...

 

L'eau m'arrivait désormais aux cuisses. Il pouvait voir le début de mon sexe, mais il ne bougeait pas et continuait à mater dans ma direction.

 

J'hésitais un moment à me retourner pour sortir à reculons mais ça aurait été encore plus nul et ridicule.

 

Je sortis donc de l'eau sous le regard scrutateur de mon voyeur.

 

Je rougissais sûrement, mais je commençais aussi à bandouiller.

 

Une fois hors de l'eau, qu'allais-je faire ? Me précipiter sur mes fringues ?

 

Ce serait un peu stupide et j'avais pas vraiment envie de me rhabiller.

 

Je restais au bord de l'eau, donc. Sans trop savoir que faire.

 

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Le va et vient des jumelles sur mon corps était particulièrement troublant. Je ne savais pas jusqu'à quel point, elles grossissaient la vision de ce type, mais j'avais l'impression q'il me matait dans tous les recoins.

 

J'étais incroyablement excité et gêné par cette absence de pudeurs.

La mienne, bien sûr, mais aussi la sienne, comme il prenait son temps à me détailler sans hésiter.

 

Ma bite était rendue à mi-chemin de mon ventre et mon trouble était aussi visible que tout le reste, désormais.

 

Lui continuait à me regarder, les jumelles montant et descendant au gré de ses envies de voyeur.

 

Je me retournais quelques instants pour lui fournir l'occasion de mater le peu qu'il n'ait pas encore vu.

 

Lorsque je me tournais de nouveau vers lui, je bandais comme un âne.

 

A l'instar d'un plan webcam, je décidais de l'exciter un peu plus pour voir jusqu'où ça irait...

 

J'aime à penser que mon corps ruisselant sous le soleil était un spectacle assez agréable, alors je commençais à m'étirer et à prendre des poses plus ou moins vulgaires, comme de profil, pour qu'il voit bien ma queue tendue.

 

Puis je mis mes mains derrière la tête, pour montrer que j'étais à sa disposition, ce dont il n'avait apparemment jamais douté puisque son regard ne m'avait pas encore quitté. Par contre, une seule de ses mains tenait désormais les jumelles, l'autre ayant disparu dans la poche de son jean.

 

J'étais souriant et excité, enfin à mon aise, ravi de faire ma salope en extérieur.

 

Tellement que j'en oubliais que la plage ne nous appartenait pas.

 

Des bruits au loin me ramenèrent à la réalité.

 

Je m'avançais vers mes vêtements pour remettre maladroitement mon short, le remplissant de sable au passage.

 

Au loin, des gens descendaient sur la plage. Ils partaient dans la direction opposée, mais l'instant magique était passé.

 

Le souci était que j'étais trempé. Je pouvais rester en short, mais je devais sécher un peu pour remettre chaussettes et baskets.

 

Je glissais le slip dans ma poche de short et je remis mes lunettes de soleil de jogging

 

L'excitation passée, j'avais un peu honte de moi. Je n'osais même pas regarder où était mon admirateur.

 

Ce fut inutile, j'entendis ses pas se rapprocher.

 

"Bonjour" me lança-t-il.

 

Je le regardais, bien à l'abri de mes lunettes de soleil.

"Attends" dit-il sans attendre ma réponse, "tu es trempé".

 

Il avait sorti une serviette de son sac à dos que je n'avais pas vu jusqu'à présent et il commença à m'essuyer le dos.

 

"Tu es assez sportif..."

 

Je ne savais pas trop quoi répondre.

 

Il avait dans les 50 ans, mais bien conservé, pas mal et un regard bleu cobalt à qui on n'avait du mal à refuser quoique ce soit.

 

"Je dois y aller" lui dis-je. "On m'attend pour le petit déjeuner".

 

Ce qui était vrai. Les amis qui me recevaient, devaient déjà se demander où j'étais passé.

 

"Quel dommage" me répondit-il. "Tu pourrais peut être revenir cet après-midi pour profiter de la plage?"

 

J'hésitais... Une visite d'autres amis résidant dans la région était prévue et le plan improvisé avec lui avait été tellement excitant que j'avais peur que la suite devienne classique et sans grand intérêt après cela.

 

Comme s"il sentait mes réticences, il enchaîna "Allez, viens cet après-midi, tu profiteras de la plage et moi de ton corps".

 

"Tu sais" continua-t-il "Il n'y a pas grand monde la semaine ici en septembre et ce serait vraiment sympa de bronzer ensemble".

 

"Je m'appelle Franck".

 

Je finis par accepter. Une visite d'un village et retourner voir des amis que je n'avais pas vus depuis des lustres contre une après-midi à la plage avec Franck me laissait perplexe.

 

Peu d'intérêt dans les deux cas, mais pourquoi ne pas bronzer et découvrir quelqu'un de nouveau, même si la baise avec lui n'était pas une priorité.

 

Je revins donc l'après-midi comme prévu, vêtu cette fois pour la plage.

 

Dès mon arrivée dans le périmètre gay, Franck me fit signe.

 

Il installé en t-shirt et short sur sa serviette, insensible apparemment à la chaleur de la plage.

 

J'installais ma serviette près de la sienne.

 

J'étais à nouveau en nage à cause de la marche de plus d'une heure que j'avais dû faire pour le rejoindre.

 

Après mon jogging de ce matin, ça faisait beaucoup.

 

La plage était loin d'être déserte. il y avait une vingtaine de gars, la plupart du temps par deux et quelques irréductibles célibataires.

La moyenne d'âge était assez élevée. J'étais un des plus jeunes.

 

Un peu mal à l'aise, j'ôtais mon t-shirt sous les regards et décidait de m'asseoir pour me mettre en maillot de bain.

 

Je sais, je suis parfois bien pudique pour un exhib... Mais c'est sûrement cette contradiction qui rend ces plans si excitants.

 

Comme de plus en plus souvent maintenant, la plupart des garçons portaient des maillots de bain à la plage.

 

La proximité avec la plage "classique" ne devait pas aider le naturisme.

 

Nous commençâmes à discuter avec Franck, mais je transpirais beaucoup et il finit par me dire : "Tu devrais aller te baigner".

 

"Tu viens ? Je lui demande.

 

"Non, je te regarde.  Je veux profiter à nouveau du spectacle de ce matin" Me dit-il sourire aux lèvres.

 

C'est assez craquant, je dois l'avouer.

 

Je me lève donc pour aller me baigner, mais il m'interpelle de suite "Tu n'oublies pas quelque chose ?"

 

Je me retourne vers lui. Il a parlé fort, quelques mecs ont levé la tête, mais retournent vite à leurs occupations, sauf deux gars derrière qui nous regardent en rigolant un peu.

 

"Retire ton maillot. Je veux un spectacle intégral" me dit-il plus doucement.

 

Bien sûr, j'hésite. Je suis un peu mal à l'aise et pas au mieux de ma forme, mais devant son sourire, je m'exécute.

 

Je reviens devant lui et je fais glisser mon maillot le long de mes jambes, en profitant pour tirer au passage un peu sur ma queue pour la rallonger.

 

Les deux mecs derrière ne rigolent plus, ils matent concentrés.

 

Je file vers la mer, sans insister.

 

J'en profite pour nager un peu et me détendre (et même pour pisser) avant de ressortir affronter la plage dans ma tenue d'adam.

 

Ruisselant, je cherche Franck du regard.

 

Il n'est plus là !

 

De même que mes affaires !

 

Là, je panique un peu.

 

"Marc!" m'appelle-t-il.

 

Je relève la tête. Franck est assis avec mon sac derrière les deux gars de tout à l'heure, collés derrière eux.

 

Je me dirige vers lui - vers eux- à poil.

 

Les deux gars me matent derrière leur lunettes de soleil, mises pour l'occasion.

 

Je voudrais m'asseoir, mais ma serviette a disparu.

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Les deux types sont allongés sur une grande serviette et Franck a posé sa serviette derrière eux.

 

"Je te présente Denis et Pierre".

 

Les deux gars me saluent de la tête, mais leurs regards ne s'attardent pas uniquement sur mon visage.

 

"Où as-tu mis ma serviette?" je demande à Franck.

 

"Je l'ai rangée dans ton sac" Il me répond avec un regard complice vers ses potes

 

 "Assieds-toi avec Denis et Pierre, ça ne les dérange pas".

 

Les deux gars se sont effectivement écartés pour me faire une place au centre de leur serviette géante.

 

"Je suis trempé" montrant mon corps dégoulinant.

 

"Pas de problème", me dit Denis."Tu vas sécher en quelques minutes"

 

J'hésite, mais je suis debout offert à tous les regards des mecs sur la plage et des gens qui passent sur le bord de mer.

 

En d'autres circonstances, ça pourrait me plaire, mais je ne suis trop mal à l'aise.

 

Je m'assois entre les deux mecs.

 

Ils ont tous deux la quarantaine, mais pas mal gaulés. Pierre est plus âgé et moins sexy que Denis, mais son maillot est plutôt bien gonflé là où il faut.

 

Me voilà , nu entre eux deux.

 

Franck me parle de derrière.

 

"J'ai parlé de toi à Denis et Pierre et de ton bain de ce matin" il me sourit.

 

"Ils voulaient voir par eux-mêmes".

 

Franck glisse mon sac contre mes épaules.

 

"Allonge-toi, tu seras plus à l'aise".

 

Allons bon... Je ne vais pas me sauver maintenant, autant jouer le jeu.

 

Je m'allonge donc, donc comme un ver entre les deux mecs assis à quelques centimètres de moi, la tête calée par mon sac à dos.

 

Franck est assis lui derrière et peut ainsi tout voir.

 

Je commence à deviner plus ou moins ce qui m'attend.

 

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Je relève une jambe, comme pour me protéger d'un côté, mais je suis en sandwich et c'est un peu inutile.

 

Denis qui est à ma gauche pose sa main sur ma jambe et me dit "détends -toi" en poussant fermement dessus pour que je la rallonge et qu'elle ne bloque pas sa vue.

 

"Ne sois pas intimidé" me dit Pierre "Tu es beau mec et d'après Franck, tu aimes qu'on te regarde".

 

"Tout le monde devrait y trouver son compte" dit Franck en riant à moitié.

 

Je sursaute.

 

La main de Pierre s'est posée  sur mon genou et remonte le long de ma cuisse.

 

Denis, lui, me passe la main dans les cheveux.

 

Je vais bouger, mais la voix de Franck retentit derrière moi : "Laisse-toi faire, Marc. Tu vas adorer... et moi-aussi".

 

"Détends-toi et laisse- toi aller"  ajoute-t-il.

 

Facile à dire, mais très difficile à faire quand on est nu allongé devant trois mecs en extérieur, sur une plage entouré d'une vingtaine d'autres mecs...

 

Je ferme les yeux, je sens la main de Denis glisser sur ma poitrine encore humide. C'est très excitant. Il me pince le téton gauche, gentiment, puis un peu plus fermement.

 

Ma bite frémit...

 

Il va être difficile de contenir mon érection.

 

Pendant ce temps, Pierre lui caresse mon ventre, descendant le bout des doigts dans la naissance de mes poils.

 

Donc assez bas, mes poils sont rasés, courts pour mettre ma queue en valeur .

 

Il n'a pas besoin de me toucher le sexe, ma bite monte doucement et vient à la rencontre de ses doigts, toute seule.

 

Il glisse sa main sur le long de la tige et me décalotte avec tendresse

 

Même ce petit reste de pudeur m’est retiré.

 

Je bouge pour me mettre sur le ventre.

 

A ma surprise, les deux mecs ne disent rien et me laissent faire.

J’ai du mal à me positionner avec mon érection.

 

Denis, assez serviable, glisse une main et me tord la queue vers l’arrière.

 

Heureusement que mon érection n’est que naissante et il parvient à retourner ma bite vers l’extérieur.

 

Pierre, lui, a déjà posé sa main sur mes fesses et les caresse avec douceur et fermeté.

 

Denis  ne lâche pas ma queue, s’amusant avec, comme si c’était un jouet.

 

Je jette un rapide coup d’œil aux autres mecs présents sur la plage.

 

Certains ne se sont aperçus de rien, mais d’autres rigolent ou matent ce que les deux amis de Franck se délectent à me faire.

 

Difficile de faire croire que cela ne me plait pas, vu la taille de ma bite, presque arrivée à son maximum. Elle commence d’ailleurs à me faire mal.

 

Denis, de plus en plus hardi, m’écarte alors les cuisses et commence à jouer avec mes couilles, tirant doucement dessus et les faisant rouler.

 

J’ai presque l’impression de leur appartenir et bien sûr, j’adore ça.

 

Pierre est collé contre moi et le tissu du devant de son maillot de bain est distendu.

 

Il porte sa main à sa bouche et glisse rapidement un doigt humide entre mes fesses écartées par son compagnon.

 

C’est humiliant et délicieux à la fois.

 

Franck me lance alors « Tu vois que tu t’amuses ! Je t’avais dit que cela te plairait ».

 

Pierre, tout à son affaire, a glissé un second doigt dans mon cul.

 

Il me caresse doucement la rondelle, l’écartant comme un pro.

 

 Franck a une érection sympathique pour montrer que sa place de voyeur lui plait vraiment.

 

"Retourne-toi" me dit Denis.

 

"Impossible ! " que je lui réponds.

 

Pierre retire ses doigts de mes fesses.

 

"Allez, sois sympa. Ça fera plaisir à une bonne partie de la plage..." me dit-il.

 

"De toute façon, on y va" me lance Franck en se levant.

 

"Hein ?" Je m'exclame. "Où ?"

 

Pierre et Denis sont déjà debout. Pierre un peu gêné par son érection, mais à l'aise.

 

Ils ne me laissent pas le choix et me voilà debout, avec la bite décalottée, vibrante et pointée par le haut.

 

Les mecs sur la plage pouffent et l'un d'entre eux me montre même du doigt.

 

Heureusement, aucune famille n'est de passage.

 

Je me baisse pour me saisir rapidement de mon sac à dos et le mettre devant mon entre-jambes avant de rechercher mon maillot de bain.

 

Franck me prend par les épaules.

 

"Allons... Tu ne vas pas faire ton effarouché maintenant" Il me prend le sac à dos des mains et me force à l'enfiler.

 

C'est lui qui tient mon maillot de bain et mes lunettes de soleil.

 

"Je peux ?" lui dis-je en les montrant.

 

Il me donne les lunettes de soleil. "Avec tes yeux bleus, il ne vaut mieux pas prendre de risque".

 

Il range le maillot dans son propre sac, répondant d'avance à ma question suivante.

 

Pierre et Denis ont fini de ranger leurs affaires.

 

Franck me fait signe de les accompagner.

 

"Redonne-moi mon maillot de bain. Je ne peux pas me promener comme ça..."

 

Je ne sais pas si la honte m'excite encore plus, mais ma bite ne redescend pas.

 

"Mais si !" me répond Franck "Il n'y a que des mecs ici. Ils ne seront pas choqués, voire plutôt ravis".

 

Il me prend les mains et les posent sur les bretelles de mon sac.

 

Le geste est clair, il tient à ce que tout le monde profite de mon entre-jambes comme nous allons traverser la plage vers les dunes.

 

Nous avançons. Franck est à côté de moi, légèrement en retrait. Denis et Pierre derrière. Ils ont bien l'intention d'exhiber leur trophée.

 

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Nous avançons lentement à travers les mecs sur leurs serviettes et, bien entendu, je suis le centre d'attention.

 

Quelques mecs saluent mes compagnons de la main. Tout le monde se connaît un peu sur ces plages de province....

 

Nous sommes presque arrivés au bout, ma bite commence à baisser. Ouf...

 

Un couple allongé interpelle Franck.

 

"Il ne va pas me faire ça !" me dis-je.

 

Et si....

 

Franck me prend par le bras et me dirige vers les deux types.

 

Ils sont hilares.

 

Ils se redressent pour parler à Franck, Denis et Pierre, et restent assis les yeux à la hauteur exacte de ma queue.

 

Ils ont tous deux la soixantaine et ne semblent pas du tout gênés de mater sans retenue ce qui leur est offert.

 

"Je vous présente Marc" leur dit Franck, l'un des deux, se soulève pour me tendre la main.

 

Je me baisse légèrement pour lui serrer, et ma bite se met à couler.

 

C'est la honte totale ! Je suis tellement excité que je mouille.

 

Les mecs se marrent, attirant encore plus l'attention du reste de la plage.

 

Je recule pour m'essuyer le gland avec la main, mais Pierre m'a devancé.

 

Il me serre le bout de la bite dans sa main en rigolant et l'essuie en la décalottant, la redressant de plus belle.

 

"Le petit saligaud est très excité!". Les types rient tous de plus belle, accompagnés par mes tortionnaires (?).

 

Je suis rouge pivoine, mais je serre la main aux deux types toujours hilares.

 

Denis s'est rapproché. Il est collé derrière moi, je sens son paquet contre mes fesses.

 

"Il va falloir que l'on s'occupe de lui !" dit-il en me pinçant le sein gauche. Décidément il aime ça.

 

Ma bite est repartie à la verticale, mais le bout humide et trempé luit au soleil.

 

"Il serait temps en effet" dit un des deux mecs sur la serviette. "Amusez-vous bien, les garçons !".

 

"Ça devrait le faire" répond Denis en riant. "A plus, les gars".

 

Les deux types se lèvent de leur serviette pour embrasser Franck, Denis et Pierre.

 

Le premier vient me coller deux bises sur les joues en me caressant les biceps, puis son copain, plus en retrait, s'avance pour m'embrasser en me flattant carrément les couilles d'une main.

 

"Si vous vous ennuyez, faites-nous signe, les gars. On viendra vous donner un coup de main"

 

Et nous voilà partis, laissant les deux types derrière nous à blaguer et à me mater le cul, comme nous partons vers les dunes.

 

Le reste, je ne vous le raconte pas, mais je me suis montré très reconnaissant et très docile pour récupérer mon maillot de bain.

 

L'été prochain, je compte bien retourner faire du jogging sur cette plage.

 

Ça me fait penser à la fois où j'ai fait du jogging à poil sur la plage des Canaries devant les promeneurs, mais je vous le raconterai une autre fois.

Par Marc Tessier - Communauté : photo video gay exhib :
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Lundi 25 mars 1 25 /03 /Mars 21:26

Ok, là j'ai battu mon record d'absence, mais bon, difficile de tout gérer et de vivre des histoires et de les raconter en même temps.

 

Mais je vais me rattraper et essayer de vous faire bander de nouveau.

Pas mal de mecs m'ont gentiment écrit pour que je me remette au travail.

 

Cette histoire-là date de l'été dernier, mais c'est un de ces souvenirs que je me plais à me repasser en boucle dans ma tête depuis, quand je me sens seul.

 

Je voyage beaucoup en ce moment et parfois difficile de trouver de quoi s'amuser même par webcam interposée.

 

Heureusement j'arrive encore à trouver et à divertir quelques voyeurs grâce à internet.

 

Mon strip sur Xtube m'a aussi ramené du monde, mais on en parlera une autre fois.

 

J'avais perdu un pari qui s'est avéré finalement gagnant pour moi aussi…

 

Mais revenons-en à notre histoire du jour.

 

C'était en août dernier, près de Bordeaux. J'étais en visite chez un ex qui m'avait fait découvrir plusieurs fois les coins intéressants de la région (saunas, plages, entrepôts et bordels).

 

On s'était toujours bien amusés ensemble, mais c'était terminé. Probablement lassés physiquement l'un de l'autre, mais toujours très bons copains.

 

Je lui rends visite tous les 6 mois et ça nous arrive parfois de remettre le couvert, mais plus par confort que par réelle envie.

 

Il est assez beau gosse et le soir en regardant un porno ou en matant sur internet, on se laisse parfois aller à des câlins.

 

Toujours est-il que j'avais accepté son invitation pour une semaine de repos dans sa superbe maison près de Bordeaux.

 

Après un ou deux jours de catch-up (comme disent les anglo-saxons), je commençais à me détendre et à profiter de son jardin ensoleillé et de sa piscine.

 

Comme de bons français, nous avons toujours adoré prendre l'apéro et Laurent avait pris l'habitude d'agiter sa cloche lorsque j'étais dans la piscine ou en train de me dorer au soleil pour que je rentre déjeuner, dîner ou prendre l'apéro sur la terrasse.

 

Je me faisais dorloter, mais je donnais aussi souvent un coup de main ;

N’allez pas me traiter de fainéant, j'ai bien des défauts (ceux qui me lisent, savent lesquels, mais pas celui-là).

 

Je pars en vrille, revenons-en à nos moutons.

 

J'étais en train de nager dans la piscine, quand la cloche a retenti plus tôt que prévu.

C'était supposé être mon dernier bain avant l'apéro et j'avais compté le temps du séchage.

 

Mais quand le devoir appelle…

 

Je sors de la piscine et je prends ma serviette, me dirigeant vers le salon dont les portes sont grandes ouvertes, tout en m'essuyant.

 

Bizarre, Laurent n'a pas commencé à sortir les verres ou les cacahouètes ou autres trucs délicieux très mauvais pour la ligne.

 

Je rentre dans le salon et Laurent est là en train de discuter avec deux mecs en rigolant.

 

Je n’ai pas l'air bête, moi vêtu de mon seul maillot de bain et encore mouillé.

 

Heureusement pour une fois, j'avais mis un maillot…

 

D'habitude, je suis plutôt genre sans, mais si personne ne regarde, ça ne m'amuse pas trop, alors…

 

Les deux types se tournent vers moi.

 

Ils sont hilares après une bonne plaisanterie que j'ai loupée (je n’espère pas à mes dépends) et se présentent.

 

Il y a Loïc, un petit mec en polo serré, cheveux bruns en brosse, petits yeux verts pétillants et un sourire à se damner.

 

On devine sous le jean un peu ringard, comme sa coupe et son polo Lacoste, un corps petit, sec et sexy.

 

Il se colle contre moi pour m'embrasser, tout en s'esclaffant encore.

 

J'ai calé la serviette entre nous, autant pour éviter de le mouiller, que pour me cacher un peu.

 

L'autre est plus grand que moi, environ 1m85, la tête rasée avec un bouc (très à la mode parisienne ou barcelonaise), un peu en contraste avec Loïc, et se nomme Matthieu.

 

Lui reste à distance et me serre la main, mais son regard aux rayons X est très envoûtant.

 

Laurent me présente et m'annonce que ce sont deux de ses amis qui sont venus prendre l'apéro.

 

J'ai jamais entendu parler d'eux, mais bon passons…

 

Je dis à Laurent que je vais aller m'habiller et les rejoindre.

 

Laurent rigole (un peu fort) et me dit que c'est inutile que l'on va prendre juste prendre l'apéro entre potes, inutile de faire des simagrées.

 

Je demande si l'apéro aura lieu dehors et non, Laurent préfère à l'intérieur.

J'insiste pour aller me changer, mais Laurent refuse et me dit de mettre ma serviette sur le sofa pour le protéger.

 

Voyant que j'insiste, il me prend la serviette des mains et l'installe sur le canapé.

 

Me voilà en slip de bain, bien serré et trempé, modèle américain qui relève bien le paquet devant les deux  zigotos qui ne m'ont pas l'air hétéro du tout.

 

Je m'assois donc sur la serviette qui est sur le sofa.

 

Laurent qui avait effectivement tout préparé pour l'apéro, mais à l'intérieur, s’assoit à côté de moi et les deux nouveaux venus en face, chacun sur un fauteuil.

 

Eux sont surélevés, et moi bien avachi dans le canapé.

 

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Impossible de me planquer même derrière les bouteilles ou les pots de gâteaux apéros…

 

Laurent nous sert nos verres avec sa générosité habituelle.

 

Mon whisky coca n'a que la couleur du coca et ils commencent à parler de la région.

 

Un peu chiant, mais le verre m'aide à me détendre.

 

Je me laisse aller, jambes bien écartées sans vraiment m'en rendre compte.

 

Mathieu rit doucement et me regarde de manière appuyée, mais discrète. Loïc, lui, est hilare et me mate de façon très ostensible.

 

Le contraste est amusant et probablement l’inverse de leur sexualité, car il devient vite évident qu’ils sont en couple.

 

Mathieu, avec son air de ne pas y toucher, fait dériver la conversation vers les vacances.

 

« Marc va souvent aux Canaries » balance Laurent, un peu trop fier de lui.

 

« Il paraît que c’est très hot ! » balance Loïc en se dandinant sur sa chaise.

 

« C’est vrai qu’on s’y amuse bien » je leur réponds, tout en sirotant mon deuxième whisky-coca ou coca –whisky (à vrai dire).

 

« A la plage ou dans les bars ? »  demande Mathieu.

 

« Les deux ! Les dunes des Canaries sont célèbres et les bars très variés. Il y en a pour tous les goûts. » Dis-je ne souriant, quelques images sympathiques me revenant en tête.

 

« La plage est naturiste ? Comme à Ibiza ? » M’interroge le petit Loïc, des étincelles dans les yeux.

 

« C’est naturiste, oui, mais mélangé au niveau gay. Quelques mecs gardent le maillot. Surtout maintenant avec les nouveaux maillots de bain qui mettent en valeur.»

« Comme le tien ? » me demande Mathieu.

 

« Non, Marc n’a pas besoin de ça » répond à ma place Laurent. « Il a ce qu’il faut.»

 

Je rougis un peu. Les garçons s’en amusent.

 

Laurent surenchérit « Tu ne vas pas nous faire ta prude, t’es toujours le premier à poil sur la page ou dans les dunes ».

 

Je dois réagir pour sauver la face. « C’est vrai que j’aime bien être nu à la plage, mais surtout pour me baigner. »

 

Laurent ne me loupe pas, « Et dans les dunes, tu cherches une oasis ? ».

 

Les gars rigolent et je suis obligé de faire pareil.

 

« Ok, j’aime bien être à poil » que je réponds bêtement, sans voir le danger venir.

 

« Te gêne pas pour nous ! » s’exclame Loïc en se tapant sur la cuisse.

 

« Non, mais je suis aussi pudique » que je leur réponds.

 

Laurent rigole de plus belle. « Alors là c’est la meilleure ! ».

 

« Fais pas ton timide ! » qu’il dit en glissant sa main entre mes jambes.

 

« Arrête ! » que je crie, mais sans conviction. Et sa main est déjà passée sur le côté de mon maillot.

 

Les garçons rient, mais leurs regards ont changé. Ils m’ont plus l’air de prédateurs que de gentils provinciaux venus prendre l’apéro…

 

Pour info, « provincial » n’a rien de péjoratif pour moi.

 

Laurent écarte le maillot légèrement et une de mes couilles sort du slip.

 

J’ai envie de réagir et en même temps de me laisser faire.

 

Laurent sort la main de mon maillot et me dit « retire-le, te fais pas prier ».

 

Il me prend mon verre des mains.

 

Les deux invités n’attendent que mon bon vouloir.

 

Je commence à bander et ça pousse méchamment sur le devant du maillot.

 

Mathieu me toise et, de sa voix rauque, me balance « Tu veux qu’on t’aide ? ».

Loïc est déjà à moitié debout.

 

« Non, je vais aller mettre un short et un t-shirt, je serai plus à l’aise » Je me lève et m’apprête à m’éclipser.

 

Mais c’est compter sans mon hôte qui avait déjà tout prémédité.

« Marc, tu bandes… » Dit-il.

 

3 paires d’yeux se fixent sur mon début d’érection et ça ne m’aide en rien.

 

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« Désolé… » Je rougis à qui mieux mieux.

 

Mathieu me bloque le passage de sa jambe.

 

« Vire ton maillot, mec ! » Il a l’air méchant et ça m’excite encore plus. « On n’a pas fait toute cette route pour rien ».

 

C’était, on ne peut plus prémédité donc…

 

Loîc, lui, sourit encore plus, les yeux rivés sur le devant de mon maillot qui gonfle de plus belle, commençant à me faire un peu mal.

 

Laurent s’est levé et s’est mis derrière moi.

 

Je me sens particulièrement vulnérable, vêtu de ce petit bout de tissu moulant devant ces trois mecs libidineux, mais en même temps, j’ai bien envie de m’exécuter.

 

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Laurent ne me laisse pas le temps de m’interroger. Ses mains glissent sur mes hanches (me faisant sursauter, mais sans me débattre) et il fait glisser – difficilement – mon maillot le long de mes cuisses.

 

Ma bite droite jaillit de là et va frapper mon bas-ventre, comme un diable jailli d’une boîte.

 

« Beau gosse décidemment » me complimente Mathieu.

 

Je lève les pieds pour me débarrasser du maillot.

 

Me voilà, à poil, bite raide devant deux mecs que je ne connaissais pas, une heure avant.

 

Et en plus ils sont justes à la hauteur de ma queue…

 

Laurent s’est rassis, sourire aux lèvres, très content de lui.

 

« Contents ? C’est bon ? »

 

Je me baisse pour ramasser mon maillot, mais Mathieu a déjà mis le pied dessus.

 

« Tourne-toi, mec. »

 

Sa voix à la Barry White ne m’aide pas à me contrôler.

 

« Allez, montre ton cul ».

 

Je m’exécute à nouveau, fusillant du regard Laurent au passage, qui lui jubile.

 

« Bien, mec ! » me lance Mathieu. « Mets tes mains sur ta tête »

On n’est plus à ça prêt. Autant jouer le jeu jusqu’au bout. Je pose mes mains sur ma tête.

 

« Laurent avait raison. Beau cul, belle gueule, belle queue, beaux pecs. Facile à déshabiller et obéissant. Une bonne lope comme on les aime, Loïc et moi ».

 

Je jette un coup d’œil à Laurent, il est très content de lui. Passant plus de temps à observer leurs réactions qu’à me mater moi (qu’il connaît par cœur).

 

« Tu peux y aller, mec… » me dit Mathieu.

 

Je me retourne et veux ramasser mon maillot, mais il a déjà disparu.

 

Tant pis, je m’apprête à passer devant eux, bite dressée et à disparaître à tout jamais, mais la main de Mathieu me bloque la cuisse.

 

« Attends, puisque t’es debout, sers-nous un autre verre ».

 

Les salauds !

 

Je fais ce qu’on me dit (comme souvent, je sais…) et je leur sers un verre avec la bite toujours dressée à moitié.

 

Quand je me baisse pour prendre la bouteille, Mathieu me souffle entre les fesses.

 

Je réprime un frisson. La sensation est délicieuse.

 

Ils ont tous leurs verres, je m’apprête à partir.

 

« Va contre la cheminée » me dit Mathieu.

 

Je pourrais dire non, mais je n’en ai pas vraiment envie.

 

Je traverse la pièce dans le sens opposé de la sortie.

 

Je suis à quatre-cinq mètres d’eux. Ils me reluquent en buvant leur apéro.

 

« Branle-toi » m’ordonne Mathieu.

 

Là c’est un peu trop. Je deviens encore plus rouge (si c’est possible).

 

Laurent est hilare et ravi.

 

Il me salue avec son verre, comme pour me dire vas-y.

 

« Allez, petite lope ! Fais pas ton timide, Laurent nous a parlé de toi et de tes trips ».

 

Mathieu n’en rate pas une et je ne vais pas rater Laurent après…

 

« Astique, mec ! »

 

Loïc pouffe. Je me demande s’ils se foutent de moi, mais leurs jeans sont bien gonflés au niveau de la braguette et je réalise qu’ils y prennent au moins autant de plaisir que moi.

 

Je commence à me branler devant eux.

 

 

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Le regard de Loïc ne quitte quasiment pas ma queue, alors que celui de Mathieu m’enveloppe complètement, descendant le long de mon corps, comme un scanner.

 

Je rebande comme un âne.

 

« Mains sur la tête ».

 

Je lève les mains.

 

« De profil »

 

« Belle queue, mec ! »

 

C’est clair que là, ils peuvent vraiment en profiter.

 

« Ton cul, petite pute ».

 

Je me retourne, non sans regarder Laurent qui dévore des yeux l’entrejambe de Mathieu.

 

A priori, j’ai servi d’appât. Et ça ne me déplaît pas du tout.

 

« Tourne »

 

Je refais face à mes « tourmenteurs ».

 

« Tu nous chauffes bien ! » me dit Mathieu, « Mais tu peux faire mieux ».

 

Bigre ! Que veut-il de plus ?

 

« Caresse-toi en te branlant. Fais ta chienne ! »

 

Le ton de voix, plus l’effet de l’alcool, font que je commence à me laisser aller.

 

Je me caresse lascivement devant eux en me branlant.

 

Mathieu fait signe à Laurent qui allume sa chaîne avec la télécommande.

 

Un musique club ou trance débute.

 

« Lâche ta queue et danse comme un gogo ».

 

Je me mets à danser à poil devant eux.

 

Loïc se caresse à travers on pantalon. La bosse est prometteuse !

 

Je suis excité et je commence à jouer le jeu.

 

La maladresse du début disparaît avec les inhibitions.

6

 

« J’adore quand tu bouges ton bassin. Quelle petite pute ! »

 

« De profil ! » me commande-t-il.

 

Je bande et ma bite claque sur mon ventre, comme je me trémousse devant eux, presque totalement désinhibé.

 

« Montre ton cul, lope ! ».

 

« Vas y, danse ! »

 

Mathieu dirige l’affaire, il n’y a qu’à se laisser porter.

 

« Approche à reculons ».

 

J’arrive en essayant de continuer à danser, sans trébucher.

 

Difficile, je suis un peu pompette (voire beaucoup).

 

J’arrive devant lui. Mon cul à hauteur de son visage.

 

Je sens à nouveau son  souffle chaud sur mes fesses. C’est irrésistible.

 

Ses grosses mains entourent mes fesses et je sens sa langue qui glisse le long de ma raie.

 

Il sonde et j’écarte  – docile comme toujours –

 

Loïc s’est levé et a contourné la table basse.

 

Il se plante devant moi et me relève le visage.

 

Je suis plus grand que lui, mais comme je suis un peu baissé pour inviter la langue de Mathieu, nous sommes presque à la même hauteur.

 

Il me caresse la poitrine, glisse une main autour de mes couilles et me roule une pelle à se damner.

 

Je sens la chaleur qui émane de lui, c’est torride et étouffant à la fois.

 

Laurent, lui, ne perd pas le nord et a disparu derrière moi.

 

Mathieu s’est levé et lorsque je me retourne, je vois Laurent à genoux, tout affairé à lui déballer la queue.

 

Au moins, je sais pourquoi Laurent m’a utilisé.

 

Le reste vous le devinez aisément.

 

Amateurs d’hygiène s’abstenir, on a tous fini à poil dans la piscine après notre affaire, avant de remettre ça une demi-heure plus tard.

 

Je n’ai jamais revu Loïc, ni Matthieu.

 

Mais j’attends avec impatience la prochaine invitation de Laurent et pas sûr cette fois que je mette de maillot pour mon bain avant l’apéritif…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Marc Tessier - Communauté : Espace Gay Sexe
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