Le blog de Marc Tessier tjoueur@hotmail.fr

Puisque mon fan-club me poursuit de demandes.

Matthieu, il va falloir que l'on se voie tous les deux !!

Et pour JP de Bordeaux et Laurent de Ferolles Atilly, voici l'histoire en discothèque qui m'a fait me séparer de mon ex.

On dirait que mes déboires (en un ou deux mots) vous amusent particulièrement !

Et bien voici toute l'histoire qui m'a rendu célibataire.

On était allé dîner tard avec mon mec du moment (on était ensemble depuis 4 mois) et un peu bourrés et on a décidé d'aller danser dans une petite boîte parisienne.

Avant de me mettre tout sur le dos, je tiens à préciser que nous nous étions rencontrés dans un sex-club. Lors d' une soirée "classique", j'étais si bien parti que j'avais laissé toutes mes fringues dans un casier. Il savait donc qu'il n'avait pas affaire à un ange.

Ce qu'il était loin d'être lui aussi, vu le nombre de fois où il m'avait sorti la queue dans les transports en commun ou baissé le maillot à la piscine…

En clair, il savait à qui il avait affaire et il aimait ça, tant qu'il était le maître du jeu.

Un control freak, comme disent nos amis anglo-saxons.

Enfin, nous sommes donc allés danser, près du restaurant.

Comme toujours le week-end, la boîte était bondée, remplie d'une foule assez hétéroclite, des crevettes, filles à pédé, beaux mecs et mecs un peu plus âgés.

Avec mon copain, appelons-le C. pour éviter tout problème, nous avons commencé par prendre une conso (de trop ?), puis nous sommes allés danser.

J'étais déjà un peu parti, mais de manière raisonnable. J'ai l'alcool gay (avec un "y"), alors que C. lui n'est pas forcément très sympa une fois bourré. Il devient plutôt assez lourd et graveleux, mais parfois j'aime bien aussi.

Après avoir dansé un peu, nous sommes allés nous asseoir en bas sur les canapés pour reprendre notre souffle.

Deux mecs étaient là avec leur fille à pédé : Une crevette mignonne et un beau brun un peu

dégarni, barbe de 2 jours assez excitant. Un couple…

Je fais signe à C. pour savoir s'il voudrait qu'on essaie de les brancher. Il n'a pas l'air contre.

Je commence à les regarder de manière assez appuyée. Les deux garçons rigolent et expliquent à la fille ce qui se passe.

Comme toujours avec les filles à pédé, elle est d'une discrétion légendaire et nous mate des pieds à la tête avant de faire son rapport à ses deux chéris platoniques.

On se sourit, on s'épie, c'est tout.

Je décide d'aller danser, C. préfère se reposer.

Je retourne seul sur la piste de danse. J'ai mis une casquette, un marcel serré et un jean proche du corps ainsi que des baskets.

J'ai un certain succès et je m'amuse à allumer un ou deux mecs sans être vraiment intéressé.

Mon trio arrive alors et se met à danser pas trop loin de moi.

Mais rien ne se passe et étant en infériorité numérique, je n'ose pas trop.

Je file aux toilettes (nature oblige) et je reviens avec une nouvelle conso à la main.

Je me remets à danser plus près d'eux en exagérant un peu mes chorégraphies assez maladroites.

La fille se marre, les mecs sourient.

C. ne vient pas danser, je présume comme ça lui arrive parfois, que soit il dort, soit il drague.

Dans les deux cas, j'ai plutôt intérêt à rester à ma place.

Le beau brun me chauffe avec son regard en coin, s'occupant de moins en moins de la fille et de sa crevette.

Je finis mon verre que je pose au bar. J'en profite pour retirer mon marcel, le glisse dans ma ceinture et je retourne danser torse nu près de mon trio de choc.

La fille pousse un cri pas très discret et me montre à ses deux copains.

J'ai droit à un examen approfondi qui est loin de me déplaire.

Toujours en dansant, je m'approche encore d'eux.

La fille vient alors me voir en pouffant et me demande à l'oreille : "Tu portes un slip ou un caleçon ?".

Je réponds amusé "Un slip, bien sûr".

"Je ne te crois pas" me dit-elle. "Vu la bosse de ta braguette, t'as pas de slip".

Je suis surpris. Je suis correctement monté, mais sans plus.

Je regarde et effectivement, j'ai une belle bosse qui pourrait penser que mon trois pièces remue à son aise dans mon pantalon.

En fait, je bandouille un peu comme à chaque fois que je suis un peu fait.

(quand je suis bourré, je bande carrément – contrairement à certains, l'alcool ne me fait pas débander, mais lève mes inhibitions - et quand je suis ivre mort… je vomis comme tout le monde).

"Non" je lui réponds "Je porte bien un slip".

Et je baisse bien mon pantalon pour lui montrer.

Et quand je dis bien, c'est bien. J'ai un slip Gap blanc taille basse. Je suis donc obligé de bien baisser le fût pour montrer l'élastique du slip.

Les deux mecs se sont rapprochés pour voir. La crevette devant et le beau brun en retrait comme d'hab.

Mais en baissant le pantalon, j'ai aussi baissé un peu le slip et mes premiers poils (bien taillés et donc ras la bite) font une sortie intempestive devant la file à pédé ravie du spectacle, de même que les personnes qui dansent autour de nous et qui se sont aperçues du manège.

Heureusement que la piste de danse est serrée et la discothèque petite.

De derrière, c'est pire, j'ai le pantalon à mi-fesses avec la moitié du cul à l'air. Les murs de la piste de danse n'étant faits que de miroirs, tout le monde peut en profiter !

Notre fille à pédé est aux anges et ses copains commencent déjà à saliver.

Je suis de plus en plus excité et j'ai la tête qui tourne un peu avec l'alcool.

Je m'apprête à tout remonter, mais je suis un peu coincé par le pantalon.

J'ouvre donc le premier bouton et je fais glisser la braguette à moitié pour pouvoir libérer de la place et remonter le tout.

La fille est toute contente et la crevette n'est plus qu'à deux mètres de moi. Le beau brun à un mètre de plus, à la fois gêné et amusé. Il a l'air de se demander où tout ça va aller.

Le pantalon à demi ouvert, le slip écrasé au fonds, les poils dehors et la moitié des fesses à l'air. Je dois avoir l'air soit pathétique, soit sexy, soit entre les deux.

D'autant qu'avec l'alcool, je suis un peu titubant.

C'est là que je réalise que j'ai perdu mon marcel !

Ne voulant pas rentrer torse nu de boîte, comme cela m'est déjà arrivé de maintes fois, je me baisse pour chercher mon maillot.

Je tâtonne dans le noir et le trouve enfin.

Je me relève et mon pantalon glisse sur mes cuisses et me voilà en slip dans la discothèque.

Je remonte mon slip bien descendu d'un coup (quitte à me retrouver en slibard devant tout le monde) autant que ce soit avec une certaine dignité).

La fille à pédé est morte de rire et me montre du doigt à ses deux copains qui ont le regard rivé sur la bosse de mon slip sans même lui adresser un regard.

Un ou deux autres mecs se marrent, mais dans la dizaine de personnes qui m'entourent, les regards sont plutôt évaluateurs, voire flatteurs.

N'empêche que c'est gênant, je vais remonter mon pantalon, quand la crevette arrive près de moi.

C'est un beau petit blondinet avec des yeux clairs. Il me dit "Pas si vite. T'es trop sexy comme ça".

Bien sûr, ça suffit pour m'exciter et me stopper dans mon élan.

 Il me tend son verre "Vodka-coca light, si ça te dit".

Les gens continuent de danser autour de nous, même notre fille à pédé avec un sourire satisfait sur les lèvres.

Je prends son verre en le remerciant et je commence à boire une petite gorgée pour me donner du courage.

D'une main, il me soulève le dessous du verre et me fait boire un peu plus.

Son autre main effleure négligemment le devant de mon slip un peu trop tendu.

J'ai la tête qui tourne, un peu, mais je commence à être très chaud.

Heureusement que ma casquette empêche la transpiration de couler de mon front.

Mais mon torse brille bien.

La crevette se remet à danser après avoir récupéré son verre presque vide qu'il tend à son copain déjà reparti au bar avant même d'avoir vraiment le verre en main, comme dans une course de relais.

La crevette commence à me coller en dansant. Mais moi, je suis toujours en slip avec le pantalon à hauteur de genoux.

"Mets-toi à l'aise" me dit-il à l'oreille "J'adore comme tu danses, et t'es tellement sexy en slip".

M'appuyant contre le mur, j'ôte rapidement mes tennis et je fais glisser mon pantalon.

Avant de remettre mes chaussures qui peuvent heureusement être remise sans avoir à défaire et refaire les lacets.

 

Me voilà en baskets, slip, cho7 et casquette contre le mur miroir de la discothèque, pantalon à la main.

Je le pose au sol dans un recoin avec mon marcel et je me mets à danser en slip.

Les gens se marrent, mais je m'en fous, je suis trop bien.

Je m'approche de la crevette pour danser et me frotter contre lui. La musique dance et commerciale est très facile et pas prise de tête. Parfaite pour se laisser aller.

Je sens plusieurs mains me frôler les fesses, même une me soupeser le paquet, mais je ne dis rien j'adore ça.

Les gens sont un peu trop serrés maintenant et je dois rester proche du mur et de mes fringues.

Mais les mecs se marrent en parlant de moi et ça devient un peu un jeu de me caresser discrètement.

La crevette ne dit rien et laisse faire.

Il a compris qu'il m'avait déjà à sa merci et il se contente de me mater des pieds à la tête en dansant devant moi et en échangeant des petits mots salaces avec sa copine.

Le beau brun revient à ce moment-là avec quatre verres.

Il m'en tend un et comment lui refuser quoique ce soit d'autant qu'il me roule une pelle en me le donnant. Mais tout en restant éloigné, grâce aux autres verres qu'il porte dans ses mains.

Je me mets à danser avec eux trois, en slip et de plus en plus éméché.

Je ne sais pas ce que devient C. et honnêtement je m'en fous. L'avenir prouvera que j'avais bien raison.

Mon seul souci reste mon pantalon et t-shirt qui sont par terre. Le jean contient quand même un peu d'argent, mon portable et mes clés pour renter chez moi.

Mais bon, l'alcool et l'excitation me chauffant bien, je virevolte comme un petit démon sur la piste face à mes admirateurs.

Mon slip blanc est bien ajusté et me moule bien les fesses et mon beau paquet de taille respectable et gonflé d'anticipation fait une belle proéminence dans sa poche.

L'intérieur est trempé de sueur et de bien d'autre chose, mais l'extérieur reste nickel pour le moment.

Je finis mon verre assez rapidement, pour le plus grand plaisir de la crevette qui se charge de suite de m'en débarrasser pour le refiler à sa fille à pédé.

Les femmes font aussi le service avec les gays !

Et je me retrouve à danser avec mon beau brun en face de moi et la crevette derrière.

Un peu le contraire de ce que j'avais imaginé…

Je m'approche du beau gosse pour me frotter contre sa cuisse, tandis que le blondinet commence à me souffler dans le cou.

La fille à pédé est de retour et commence à s'ennuyer.

Elle se sent un peu à l'écart.

Elle finit par s'approcher. Ses mains se baladent sur ma poitrine. Elle est bien bourrée elle-aussi !

Elle ricane pour un rien.

Elle finit par se glisser derrière moi pour danser avec sa copine crevette.

(Elle a sûrement plus d'affinité avec lui).

Pendant ce temps, je continue à danser pour exciter le beau gosse et ça a l'air de marcher.

Il s'est reculé, le regard rivé sur mon paquet.

J'en fais des tonnes avec le bas ventre pour l'exciter. Le DJ me jette des regards mauvais de sa cabine toute proche. Mais bon, je n'ai jamais vu ce DJ être sympa que je porte un pantalon ou pas.

Ça commence à s'agiter autour de moi et ça finit par embêter notre fille à pédé qui profite de son placement stratégique pour poser ses mains sur mes hanches… et me baisser le slip !

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Me voilà, la bite à l'air devant tout le monde.

En temps normal, je l'aurais bloqué avant qu'elle n'ait réussi, mais avec l'alcool et les bras levés à me déhancher, j'ai rien pu faire.

Le slip est arrêté à mi-cuisses par mes jambes écartées, mais j'ai le trois pièces qui bat la mesure, la bite à moitié durcie, et le cul complètement à l'air.

Mon beau brun s'est reculé, mi-gêné, mi-amusé, mais les yeux fixés sur moi.

J'ai deux possibilités : soit me baisser gauchement pour relever mon slip, soit faire comme lors de mes nombreux strips et aller plus loin…

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 Les cris, des gens qui m'entourent, ne me laissent pas le choix.

Mais de toute façon, la crevette me devance et se baisse pour faire glisser le slip de long de mes jambes.

Je n'ai plus qu'à lever les pieds pour m'en débarrasser. Mon assistant est très zélé pour m'y aider !

Je me remets à danser sous les sifflets et les applaudissements. Quelques mecs essaient de s'approcher, mais la piste est étroite et seule un dizaine de personnes peut me voir en tenue d'Adam.

Mon beau brun est trop gêné pour s'approcher de nouveau, mais il me mate en se touchant à travers sa poche.

Je commence à être très excité, voire trop…

La gêne s'estompe, même si mes joues sont cramoisies. Heureusement le mauvais éclairage de la disco empêche les gens de s'en rendre compte et ma casquette couvre mes yeux d'une ombre qui me permet de ne pas me sentir trop humilié, même si cela fait partie de l'excitation.

Je commence à vraiment bander. Les mecs montrent ma queue du doigt et ça devient too much !

Les mecs m'entourent et les mains se font très baladeuses.

Le beau brun, la fille et la crevette comment à se glisser dans la foule et à s'éloigner.

La crevette se marre, il a mon slip à la main et le tend en l'air !

Je me retourne pour ramasser mes fringues, mais sa copine m'a devancé, elle m'a piqué mon pantalon et mon marcel !!

Ils descendent les marches et disparaissent.

J'essaie de les rejoindre, mais avec la bite avec la verticale, difficile de fendre la foule.

Je couvre mon sexe maladroitement avec ma casquette et je tente de traverser la foule, mais les mecs et quelques nanas tentent de me retenir.

Ils ont envie que le spectacle continue. Et à vrai dire, sans la disparition de mes fringues, j'aurais sûrement été facile à convaincre

Je finis par me glisser au milieu des danseurs, le côté compact est l'occasion de me prendre quelques mains au cul, sur le torse et autre…

Un type tente de me prendre ma casquette et son copain en profite pour me prendre la queue dans sa main et commencer à m'astiquer.

Le personnel de la boîte ne s'est pas manifesté, comme d'habitude, mais pourquoi le feraient-ils ? Ils ont une attraction gratuite…

Je dévale le mini-escalier et, à mon grand soulagement, le beau brun, la crevette et leur inénarrable fille à pédé sont là assis sur les canapés du fond.

Trois quatre personnes pouffent de rire en me voyant surgir à poil, mais me laissent passer sans encombre.

Le beau brun est assis sur mes fringues.

C. n'est plus là. Et à vrai dire, même si je le remarque, je m'en fous un peu.

J'arrive devant le beau brun et je tends la main pour récupérer mes fringues, partagé entre la colère et l'excitation.

Il me regarde sans gêne. Il est le maître du jeu, désormais.

"Donne ta casquette" me dit-il.

La fille et la crevette se marrent, mais pas lui. Son regard est sérieux et appuyé.

Je lui tends la casquette. Je suis complètement à poil devant lui. Moi debout, lui assis.

"Recule dans la lumière".

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Je me recule un peu. L'éclairage est mauvais et empêche de bien discerner mon visage, mais pour le reste…

Les autres personnes assises sur les canapés rigolent, mais je préfère éviter de me retourner.

Le beau brun me mate sans vergogne, de la tête aux pieds, en insistant bien sur ma queue que je n'essaie pas de cacher avec mes mains, comprenant l'inutilité et n'en ayant pas plus envie que ça.

"Danse, mec !" me dit-il. Je suis horriblement gêné. Bien sûr,  J'ai déjà dansé à poil en public (je vous raconterai une autre fois), mais là c'est limite.

Je me déhanche vaguement et ma queue commence à monter.

Mais mes bourreaux n'ont pas envie de continuer d'être seulement spectateurs.

Le beau brun m'attrape la bite et me précipite entre lui et la crevette sur le canapé.

Avant que j'ai pu dire ouf, la crevette a plongé entre mes jambes et m'a avalé la queue dans sa bouche et le beau brun me roule une pelle assez profonde.

La fille se casse (enfin !) et on se paloche  tous les trois dans la semi-pénombre des canapés de la discothèque.

On va finir tout ça assez vite, on est tous trop excités.

Je récupère mes fringues et tout le monde se casse.

Se rhabiller dans ces conditions est assez gênant, et comme je me retrouve à sortir seul, les regards et rires des gens le sont encore plus.

J'ai jamais revu le beau brun, ni la crevette, mais vu le plan qu'ils m'ont fait et que j'ai accepté, c'est guère étonnant.

Et C. me direz-vous ?

Lorsque je lui ai téléphoné, j'ai eu droit à l'engueulade de ma vie.

Il m'a vu en slip en train de danser et un copain à lui "sympa" lui a envoyé ma photo le cul à l'air sur la piste de danse.

Ce fameux copain me l'a payé depuis, mais c'est une autre histoire !

Me voilà donc de nouveau célibataire (si ça intéresse quelqu'un).

Juste un détail pour les potentiels candidats (vous savez désormais à qui vous avez affaire).

Mar 29 nov 2011 Aucun commentaire