Le blog de Marc Tessier tjoueur@hotmail.fr
Je vous ai un peu délaissés, mais je me devais tout de même de vous raconter ce qui m'était arrivé en vacances à Playa del Ingles (Gran Canaria) pour ceux qui ne connaissent pas.
Après une journée passée la bite à l'air à la plage à mater des mecs beaux et moins beaux et
une bonne pré-nuit de 21 heures à minuit, j'étais plus qu'en forme, et ce à tous les niveaux.
Après une toilette complète, j'étais prêt pour que cette nuit soit LA nuit, comme chantent les Black Eyed Peas dans un de leurs derniers tubes.
Chemisette à pression (style strip-teaser ) blanche à rayures rouges qui colle bien au torse et qui s'ouvre vite, jean serré avec braguette à fermeture (c'est dangereux, mais plus rapide), slip blanc, socquettes blanches et tennis bleus, un coup de déo et c'est parti pour l'aventure.
Comme d'habitude à Gran Canaria, le circuit c'est une suite de bar qui n'en finit pas et, si vous avez lu le reste mon blog, vous savez que j'aime la picole mais que je ne tiens pas l'alcool en dépit de mon entraînement. Ce qui reste un mystère pour moi.
Bon enfin, vers trois heures me voilà dan un bel état après 3 whisky-cocas et 2 heures à reluquer les mecs des différents points de boisson.
Ça me tiraille vraiment à l'entrejambe et ce n'est pas une envie de pisser.
Je décide de passer à l'essentiel, un peu lassé de ce sempiternel échange de regards qui
m'amuse en temps normal.
Je descends au Cruise-Bar pour ceux qui connaissent et je me commande un quatrième whisky-coca que je n'arrive pas à avaler.
Un peu titubant, mais avec l'aplomb du mec qui a bu et qui pense qu'il contrôle quand même, je me dirige vers la back-room après un tour rapide de toutes les cabines.
Il n'y a pas grand monde.
J'en ressors et vais dans le salle de TV qui touche ce lieu de perdition.
La pièce est constituée d'un écran suspendu avec des films de Q plus ou moins réussis souvent
très "bear" ou cuir et assez branchés fist.
En face, trois hautes marches permettent aux spectateurs de s'asseoir face à l'écran.
Je m'assois sur la plus haute des marches et commence à mater un film plutôt sympa.
Avec mon whisky-coca – qui chauffe dangereusement – dans ma main droite et ma main gauche qui commence à jouer avec ma braguette, je m'octroie quelques minutes de répit.
Il y a deux autres mecs dans la pièce, l'un assis sur la deuxième marche de l'autre côté de la pièce qui me reluque, mais qui ne me plait pas et un autre sur la première marche, la tête appuyée contre le mur. Aucun risque de ce côté-là, il est dans un état…
Je commence à m'exciter devant le film. Un couple rentre dans la pièce. Je retire ma main et me remet à boire pour me donner une contenance.
L'un est pas top, grand brun et baraqué, mais pas très séduisant au niveau visage, environ la quarantaine. L'autre a la crâne rasé, habillé en kaki dans un style vigile assez excitant plutôt beau gosse, mais assez nerveux.
Ils jettent un coup d'œil sur la scène et se dirigent vers la back-room.
J'hésite, mais non, je suis bien devant mon film de boules avec mon verre.
Le problème est que je commence à m'exciter malgré les allées et venues.
J'ai une trique plus que visible et je décide d'ouvrir ma braguette pour pouvoir me toucher à travers le slip.
Quelques mecs passent, jettent un coup d'œil, mais tout le monde se dirige vers la back-room.
Engourdi par l'alcool et par la montée de mon excitation, je ne me suis même pas aperçu que le couple est de retour dans la pièce et se tient à deux mètres de moi, debout appuyé contre le mur.
Ils me matent. Le brun ouvertement, le rasé en douce.
Gêné, je me redresse – j'étais à moitié affalé sur la marche – et je me rajuste, mais sans oser fermer la braguette à cause du bruit que cela ferait.
Une minute passe, le couple a reporté son attention sur l'écran de TV où le film est assez sympa.
Tant pis, j'y tiens plus. Je recommence à me caresser la bite à travers le jean, mais ma main frôle dangereusement l'ouverture béante.
Au fur et à mesure des attouchements, je recommence à me détendre (sauf d'un endroit bien sûr) et sans m'en rendre compte, je me laisse glisser contre le mur en écartant bien les jambes.
Il commence à y avoir du monde dans la salle de TV, mais je reste isolé dans mon coin.
Le couple est toujours là, mais regarde alternativement les autres mecs et le film, sans m'accorder plus d'attention. Du moins, c'et ce que je crois.
Je m'enhardis, comme souvent dans ces cas-là, et je glisse ma main dans ma braguette pour me frotter doucement le gland à travers le slip.
C'est compliqué, je porte à gauche et sans être monté comme un âne, c'est difficile d'accès.
Je rebois un coup, jette un coup d'œil à la ronde puis me décide.
J'ouvre la premier bouton de mon pantalon qui saute comme un bouchon de champagne.
Me voilà, vautré sur la marche du haut dans une salle de TV, les pans de la chemisette écartée sur mon jean entrouvert où pointe une érection des plus beaux jours.
Bien sûr, le fait d'avoir le pantalon ouvert ne me calme pas, au contraire.
Je glisse sans vergogne ma main droite dans mon slip et commence à me branler.
Quelques mecs commencent à regarder. Il faudrait que je me calme…
Ou pas !
C'est à ce moment que le grand brun du couple se tourne vers moi et me dit : "Can we see it ?" avec un accent anglais épouvantable.
Son comparse me regarde en biais, mais je le soupçonne d'être à l'initiative de la demande.
Je déglutis et je m'apprête à retirer ma main de l'intérieur de mon pantalon, quand une rafale d'excitation venue de je ne sais où me fait hésiter.
Et pourquoi pas, après tout ?
Je soulève l'élastique de mon slip et sort mon gland devant le mec un peu surpris et son copain qui ne fait plus semblant de regarder ailleurs.
Il voulait me provoquer, mais ne s'attendait probablement pas à ce que je le fasse
vraiment.
Et me voilà qui m'astique sous le regard de nos deux rigolos et de quelques autres.
Le rasé a mis sa main dans sa poche et se caresse aussi.
Le grand brun qui tient toujours son verre commence à sourire.
Et moi, j'en peux plus tellement ça m'excite !
L'élastique du slip me gêne et je mouille grave sur ma chemisette.
Au grand maux, les grands remèdes, je profite des pressions de ma chemisette pour l'ouvrir.
Le grand brun sourit de plus belle. "Not very shy". Me balance-t-il ou un truc de ce genre.
Il pose son verre et s'approche de moi. Son copain aussi.
Il me tend un flacon de poppers.
Là encore, difficile de résister, même si je sais à l'avance que je me réveillerai dans quelques heures avec un mal de crâne carabiné du fait de l'alcool et du poppers.
Je dévisse le bouchon et prend deux grandes inspirations.
Je redonne son flacon au grand brun qui me prend la main et me fait lever d'un coup.
Me voilà debout sur ma deuxième marche devant tout le monde, la chemisette ouverte et le jean entrouvert avec ma bite qui dépasse de mon slip.
Avant que j'ai pu décider de la suite à donner à cette histoire - de plus en plus de types de
passage de ou vers la back-room s'attardent dans la salle de TV – le grand brun me retire avec douceur ma chemisette et la pose derrière moi avant de me rouler une pelle de vrai
pro.
Son copain est déjà entre mes jambes et fait glisser mon pantalon jusqu'à mes chevilles.
Je vais avoir du mal à partir en courant.
Le grand brun recule et me regarde satisfait.
Je suis complètement nu devant tout le monde avec une érection des plus beaux jours et j'adore ça.
Si je ne me retenais pas, je juterais bien devant tout le monde.
Quelques mecs font mine de s'approcher, mais le grand brun reprend les rennes de l'affaire en leur bloquant le passage tandis que son copain qui a sorti sa queue se précipite entre mes jambes pour un pompage en règle.
Après une ou deux minutes de tripotage et léchage hyper-excitants , me voilà entraîné dans la back-room par nos deux compères.
Je n'oublie pas ma chemisette au passage.
Nous y resterons un bon moment et je ne suis pas vraiment sûr que nous soyons restés tous les trois tout le temps, mais cela restera mémorable tout comme cette entrée en matière pas piquée des hannetons.