Le blog de Marc Tessier tjoueur@hotmail.fr

Ok, là j'ai battu mon record d'absence, mais bon, difficile de tout gérer et de vivre des histoires et de les raconter en même temps.

 

Mais je vais me rattraper et essayer de vous faire bander de nouveau.

Pas mal de mecs m'ont gentiment écrit pour que je me remette au travail.

 

Cette histoire-là date de l'été dernier, mais c'est un de ces souvenirs que je me plais à me repasser en boucle dans ma tête depuis, quand je me sens seul.

 

Je voyage beaucoup en ce moment et parfois difficile de trouver de quoi s'amuser même par webcam interposée.

 

Heureusement j'arrive encore à trouver et à divertir quelques voyeurs grâce à internet.

 

Mon strip sur Xtube m'a aussi ramené du monde, mais on en parlera une autre fois.

 

J'avais perdu un pari qui s'est avéré finalement gagnant pour moi aussi…

 

Mais revenons-en à notre histoire du jour.

 

C'était en août dernier, près de Bordeaux. J'étais en visite chez un ex qui m'avait fait découvrir plusieurs fois les coins intéressants de la région (saunas, plages, entrepôts et bordels).

 

On s'était toujours bien amusés ensemble, mais c'était terminé. Probablement lassés physiquement l'un de l'autre, mais toujours très bons copains.

 

Je lui rends visite tous les 6 mois et ça nous arrive parfois de remettre le couvert, mais plus par confort que par réelle envie.

 

Il est assez beau gosse et le soir en regardant un porno ou en matant sur internet, on se laisse parfois aller à des câlins.

 

Toujours est-il que j'avais accepté son invitation pour une semaine de repos dans sa superbe maison près de Bordeaux.

 

Après un ou deux jours de catch-up (comme disent les anglo-saxons), je commençais à me détendre et à profiter de son jardin ensoleillé et de sa piscine.

 

Comme de bons français, nous avons toujours adoré prendre l'apéro et Laurent avait pris l'habitude d'agiter sa cloche lorsque j'étais dans la piscine ou en train de me dorer au soleil pour que je rentre déjeuner, dîner ou prendre l'apéro sur la terrasse.

 

Je me faisais dorloter, mais je donnais aussi souvent un coup de main ;

N’allez pas me traiter de fainéant, j'ai bien des défauts (ceux qui me lisent, savent lesquels, mais pas celui-là).

 

Je pars en vrille, revenons-en à nos moutons.

 

J'étais en train de nager dans la piscine, quand la cloche a retenti plus tôt que prévu.

C'était supposé être mon dernier bain avant l'apéro et j'avais compté le temps du séchage.

 

Mais quand le devoir appelle…

 

Je sors de la piscine et je prends ma serviette, me dirigeant vers le salon dont les portes sont grandes ouvertes, tout en m'essuyant.

 

Bizarre, Laurent n'a pas commencé à sortir les verres ou les cacahouètes ou autres trucs délicieux très mauvais pour la ligne.

 

Je rentre dans le salon et Laurent est là en train de discuter avec deux mecs en rigolant.

 

Je n’ai pas l'air bête, moi vêtu de mon seul maillot de bain et encore mouillé.

 

Heureusement pour une fois, j'avais mis un maillot…

 

D'habitude, je suis plutôt genre sans, mais si personne ne regarde, ça ne m'amuse pas trop, alors…

 

Les deux types se tournent vers moi.

 

Ils sont hilares après une bonne plaisanterie que j'ai loupée (je n’espère pas à mes dépends) et se présentent.

 

Il y a Loïc, un petit mec en polo serré, cheveux bruns en brosse, petits yeux verts pétillants et un sourire à se damner.

 

On devine sous le jean un peu ringard, comme sa coupe et son polo Lacoste, un corps petit, sec et sexy.

 

Il se colle contre moi pour m'embrasser, tout en s'esclaffant encore.

 

J'ai calé la serviette entre nous, autant pour éviter de le mouiller, que pour me cacher un peu.

 

L'autre est plus grand que moi, environ 1m85, la tête rasée avec un bouc (très à la mode parisienne ou barcelonaise), un peu en contraste avec Loïc, et se nomme Matthieu.

 

Lui reste à distance et me serre la main, mais son regard aux rayons X est très envoûtant.

 

Laurent me présente et m'annonce que ce sont deux de ses amis qui sont venus prendre l'apéro.

 

J'ai jamais entendu parler d'eux, mais bon passons…

 

Je dis à Laurent que je vais aller m'habiller et les rejoindre.

 

Laurent rigole (un peu fort) et me dit que c'est inutile que l'on va prendre juste prendre l'apéro entre potes, inutile de faire des simagrées.

 

Je demande si l'apéro aura lieu dehors et non, Laurent préfère à l'intérieur.

J'insiste pour aller me changer, mais Laurent refuse et me dit de mettre ma serviette sur le sofa pour le protéger.

 

Voyant que j'insiste, il me prend la serviette des mains et l'installe sur le canapé.

 

Me voilà en slip de bain, bien serré et trempé, modèle américain qui relève bien le paquet devant les deux  zigotos qui ne m'ont pas l'air hétéro du tout.

 

Je m'assois donc sur la serviette qui est sur le sofa.

 

Laurent qui avait effectivement tout préparé pour l'apéro, mais à l'intérieur, s’assoit à côté de moi et les deux nouveaux venus en face, chacun sur un fauteuil.

 

Eux sont surélevés, et moi bien avachi dans le canapé.

 

1a-hunk 9

 

Impossible de me planquer même derrière les bouteilles ou les pots de gâteaux apéros…

 

Laurent nous sert nos verres avec sa générosité habituelle.

 

Mon whisky coca n'a que la couleur du coca et ils commencent à parler de la région.

 

Un peu chiant, mais le verre m'aide à me détendre.

 

Je me laisse aller, jambes bien écartées sans vraiment m'en rendre compte.

 

Mathieu rit doucement et me regarde de manière appuyée, mais discrète. Loïc, lui, est hilare et me mate de façon très ostensible.

 

Le contraste est amusant et probablement l’inverse de leur sexualité, car il devient vite évident qu’ils sont en couple.

 

Mathieu, avec son air de ne pas y toucher, fait dériver la conversation vers les vacances.

 

« Marc va souvent aux Canaries » balance Laurent, un peu trop fier de lui.

 

« Il paraît que c’est très hot ! » balance Loïc en se dandinant sur sa chaise.

 

« C’est vrai qu’on s’y amuse bien » je leur réponds, tout en sirotant mon deuxième whisky-coca ou coca –whisky (à vrai dire).

 

« A la plage ou dans les bars ? »  demande Mathieu.

 

« Les deux ! Les dunes des Canaries sont célèbres et les bars très variés. Il y en a pour tous les goûts. » Dis-je ne souriant, quelques images sympathiques me revenant en tête.

 

« La plage est naturiste ? Comme à Ibiza ? » M’interroge le petit Loïc, des étincelles dans les yeux.

 

« C’est naturiste, oui, mais mélangé au niveau gay. Quelques mecs gardent le maillot. Surtout maintenant avec les nouveaux maillots de bain qui mettent en valeur.»

« Comme le tien ? » me demande Mathieu.

 

« Non, Marc n’a pas besoin de ça » répond à ma place Laurent. « Il a ce qu’il faut.»

 

Je rougis un peu. Les garçons s’en amusent.

 

Laurent surenchérit « Tu ne vas pas nous faire ta prude, t’es toujours le premier à poil sur la page ou dans les dunes ».

 

Je dois réagir pour sauver la face. « C’est vrai que j’aime bien être nu à la plage, mais surtout pour me baigner. »

 

Laurent ne me loupe pas, « Et dans les dunes, tu cherches une oasis ? ».

 

Les gars rigolent et je suis obligé de faire pareil.

 

« Ok, j’aime bien être à poil » que je réponds bêtement, sans voir le danger venir.

 

« Te gêne pas pour nous ! » s’exclame Loïc en se tapant sur la cuisse.

 

« Non, mais je suis aussi pudique » que je leur réponds.

 

Laurent rigole de plus belle. « Alors là c’est la meilleure ! ».

 

« Fais pas ton timide ! » qu’il dit en glissant sa main entre mes jambes.

 

« Arrête ! » que je crie, mais sans conviction. Et sa main est déjà passée sur le côté de mon maillot.

 

Les garçons rient, mais leurs regards ont changé. Ils m’ont plus l’air de prédateurs que de gentils provinciaux venus prendre l’apéro…

 

Pour info, « provincial » n’a rien de péjoratif pour moi.

 

Laurent écarte le maillot légèrement et une de mes couilles sort du slip.

 

J’ai envie de réagir et en même temps de me laisser faire.

 

Laurent sort la main de mon maillot et me dit « retire-le, te fais pas prier ».

 

Il me prend mon verre des mains.

 

Les deux invités n’attendent que mon bon vouloir.

 

Je commence à bander et ça pousse méchamment sur le devant du maillot.

 

Mathieu me toise et, de sa voix rauque, me balance « Tu veux qu’on t’aide ? ».

Loïc est déjà à moitié debout.

 

« Non, je vais aller mettre un short et un t-shirt, je serai plus à l’aise » Je me lève et m’apprête à m’éclipser.

 

Mais c’est compter sans mon hôte qui avait déjà tout prémédité.

« Marc, tu bandes… » Dit-il.

 

3 paires d’yeux se fixent sur mon début d’érection et ça ne m’aide en rien.

 

060507010

 

« Désolé… » Je rougis à qui mieux mieux.

 

Mathieu me bloque le passage de sa jambe.

 

« Vire ton maillot, mec ! » Il a l’air méchant et ça m’excite encore plus. « On n’a pas fait toute cette route pour rien ».

 

C’était, on ne peut plus prémédité donc…

 

Loîc, lui, sourit encore plus, les yeux rivés sur le devant de mon maillot qui gonfle de plus belle, commençant à me faire un peu mal.

 

Laurent s’est levé et s’est mis derrière moi.

 

Je me sens particulièrement vulnérable, vêtu de ce petit bout de tissu moulant devant ces trois mecs libidineux, mais en même temps, j’ai bien envie de m’exécuter.

 

060507020

 

Laurent ne me laisse pas le temps de m’interroger. Ses mains glissent sur mes hanches (me faisant sursauter, mais sans me débattre) et il fait glisser – difficilement – mon maillot le long de mes cuisses.

 

Ma bite droite jaillit de là et va frapper mon bas-ventre, comme un diable jailli d’une boîte.

 

« Beau gosse décidemment » me complimente Mathieu.

 

Je lève les pieds pour me débarrasser du maillot.

 

Me voilà, à poil, bite raide devant deux mecs que je ne connaissais pas, une heure avant.

 

Et en plus ils sont justes à la hauteur de ma queue…

 

Laurent s’est rassis, sourire aux lèvres, très content de lui.

 

« Contents ? C’est bon ? »

 

Je me baisse pour ramasser mon maillot, mais Mathieu a déjà mis le pied dessus.

 

« Tourne-toi, mec. »

 

Sa voix à la Barry White ne m’aide pas à me contrôler.

 

« Allez, montre ton cul ».

 

Je m’exécute à nouveau, fusillant du regard Laurent au passage, qui lui jubile.

 

« Bien, mec ! » me lance Mathieu. « Mets tes mains sur ta tête »

On n’est plus à ça prêt. Autant jouer le jeu jusqu’au bout. Je pose mes mains sur ma tête.

 

« Laurent avait raison. Beau cul, belle gueule, belle queue, beaux pecs. Facile à déshabiller et obéissant. Une bonne lope comme on les aime, Loïc et moi ».

 

Je jette un coup d’œil à Laurent, il est très content de lui. Passant plus de temps à observer leurs réactions qu’à me mater moi (qu’il connaît par cœur).

 

« Tu peux y aller, mec… » me dit Mathieu.

 

Je me retourne et veux ramasser mon maillot, mais il a déjà disparu.

 

Tant pis, je m’apprête à passer devant eux, bite dressée et à disparaître à tout jamais, mais la main de Mathieu me bloque la cuisse.

 

« Attends, puisque t’es debout, sers-nous un autre verre ».

 

Les salauds !

 

Je fais ce qu’on me dit (comme souvent, je sais…) et je leur sers un verre avec la bite toujours dressée à moitié.

 

Quand je me baisse pour prendre la bouteille, Mathieu me souffle entre les fesses.

 

Je réprime un frisson. La sensation est délicieuse.

 

Ils ont tous leurs verres, je m’apprête à partir.

 

« Va contre la cheminée » me dit Mathieu.

 

Je pourrais dire non, mais je n’en ai pas vraiment envie.

 

Je traverse la pièce dans le sens opposé de la sortie.

 

Je suis à quatre-cinq mètres d’eux. Ils me reluquent en buvant leur apéro.

 

« Branle-toi » m’ordonne Mathieu.

 

Là c’est un peu trop. Je deviens encore plus rouge (si c’est possible).

 

Laurent est hilare et ravi.

 

Il me salue avec son verre, comme pour me dire vas-y.

 

« Allez, petite lope ! Fais pas ton timide, Laurent nous a parlé de toi et de tes trips ».

 

Mathieu n’en rate pas une et je ne vais pas rater Laurent après…

 

« Astique, mec ! »

 

Loïc pouffe. Je me demande s’ils se foutent de moi, mais leurs jeans sont bien gonflés au niveau de la braguette et je réalise qu’ils y prennent au moins autant de plaisir que moi.

 

Je commence à me branler devant eux.

 

 

00j7u (7)

 

Le regard de Loïc ne quitte quasiment pas ma queue, alors que celui de Mathieu m’enveloppe complètement, descendant le long de mon corps, comme un scanner.

 

Je rebande comme un âne.

 

« Mains sur la tête ».

 

Je lève les mains.

 

« De profil »

 

« Belle queue, mec ! »

 

C’est clair que là, ils peuvent vraiment en profiter.

 

« Ton cul, petite pute ».

 

Je me retourne, non sans regarder Laurent qui dévore des yeux l’entrejambe de Mathieu.

 

A priori, j’ai servi d’appât. Et ça ne me déplaît pas du tout.

 

« Tourne »

 

Je refais face à mes « tourmenteurs ».

 

« Tu nous chauffes bien ! » me dit Mathieu, « Mais tu peux faire mieux ».

 

Bigre ! Que veut-il de plus ?

 

« Caresse-toi en te branlant. Fais ta chienne ! »

 

Le ton de voix, plus l’effet de l’alcool, font que je commence à me laisser aller.

 

Je me caresse lascivement devant eux en me branlant.

 

Mathieu fait signe à Laurent qui allume sa chaîne avec la télécommande.

 

Un musique club ou trance débute.

 

« Lâche ta queue et danse comme un gogo ».

 

Je me mets à danser à poil devant eux.

 

Loïc se caresse à travers on pantalon. La bosse est prometteuse !

 

Je suis excité et je commence à jouer le jeu.

 

La maladresse du début disparaît avec les inhibitions.

6

 

« J’adore quand tu bouges ton bassin. Quelle petite pute ! »

 

« De profil ! » me commande-t-il.

 

Je bande et ma bite claque sur mon ventre, comme je me trémousse devant eux, presque totalement désinhibé.

 

« Montre ton cul, lope ! ».

 

« Vas y, danse ! »

 

Mathieu dirige l’affaire, il n’y a qu’à se laisser porter.

 

« Approche à reculons ».

 

J’arrive en essayant de continuer à danser, sans trébucher.

 

Difficile, je suis un peu pompette (voire beaucoup).

 

J’arrive devant lui. Mon cul à hauteur de son visage.

 

Je sens à nouveau son  souffle chaud sur mes fesses. C’est irrésistible.

 

Ses grosses mains entourent mes fesses et je sens sa langue qui glisse le long de ma raie.

 

Il sonde et j’écarte  – docile comme toujours –

 

Loïc s’est levé et a contourné la table basse.

 

Il se plante devant moi et me relève le visage.

 

Je suis plus grand que lui, mais comme je suis un peu baissé pour inviter la langue de Mathieu, nous sommes presque à la même hauteur.

 

Il me caresse la poitrine, glisse une main autour de mes couilles et me roule une pelle à se damner.

 

Je sens la chaleur qui émane de lui, c’est torride et étouffant à la fois.

 

Laurent, lui, ne perd pas le nord et a disparu derrière moi.

 

Mathieu s’est levé et lorsque je me retourne, je vois Laurent à genoux, tout affairé à lui déballer la queue.

 

Au moins, je sais pourquoi Laurent m’a utilisé.

 

Le reste vous le devinez aisément.

 

Amateurs d’hygiène s’abstenir, on a tous fini à poil dans la piscine après notre affaire, avant de remettre ça une demi-heure plus tard.

 

Je n’ai jamais revu Loïc, ni Matthieu.

 

Mais j’attends avec impatience la prochaine invitation de Laurent et pas sûr cette fois que je mette de maillot pour mon bain avant l’apéritif…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Lun 25 mar 2013 Aucun commentaire